A la clef de toute cette misère idéologique il y a l'européisme, ce dogme que le pouvoir actuel a repris à son compte et pousse à l'extrême en dépit du vote on ne peut plus clair des Français en 2005, vote qui ne visait nullement la personne de Jacques Chirac mais bien sa politique européenne, qui était celle de son prédécesseur et qu'appuyait toujours, à quelques exceptions près, un Parti socialiste rallié au néolibéralisme, c'est-à-dire à la théologie du marché et au consumérisme qui conduisent à la crétinisation des esprits.
Philippe de Saint Robert