A Castres, une bataille rangée a opposé une soixantaine de soldats et des jeunes musulmans anti-Français.
Dans la nuit de vendredi à samedi 4 mai 2013 après une fête locale.Les soldats du 8e Régiment de Parachutistes d’Infanterie de Marine (RPIMA) ont été insultés aux cris de « sales militaires » et « sales Français » à leur sortie d’un bar du centre où ils avaient pris un verre, a rapporté le colonel Eric Chasboeuf, chef de corps du 8e RPIMA. La rixe a été déclenchée parce que les parachutistes, au nombre d’une dizaine, avaient eu le tort de défendre une jeune fille qu’importunaient ces jeunes beurs dans le bar. Oui parce que selon la charia qu’ils apprennent à la mosquée, les infidèles sont inférieurs aux musulmans, et ils ne doivent donc pas s’opposer à eux, (surtout lorsqu’ils s’adressent à une chienne de blanche) En sortant, les soldats se sont donc retrouvés en présence d’une horde de barbares – les musulmans n’attaquent jamais seuls, seulement en groupe – une meute très importante qui se voit déjà en train de préparer le Jihad islamique.Les jeunes musulmans, cela ne surprendra plus personne, étaient pour certains d’entre eux des repris de justice et des multi-récidivistes laissés en liberté ( parce que la société est trop injuste. )
Les policiers ont tiré des balles en caoutchouc pour repousser les envahisseurs, ce qui n’a pu empêcher qu’un jeune soldat perde un œil après avoir été frappé avec un tesson de bouteille. A 21 ans, il ne peut plus exercer son métier, a déclaré le colonel Chasboeuf. Toutes nos pensées vont à ce jeune qui avait fait de la défense de la France son métier, et qui s’est trouvé, sur son sol, face à ses pires ennemis.L’auteur présumé du coup de bouteille et un autre jeune ont été interpellés. Ils devaient être présentés à la justice, a indiqué le parquet, et il iront grossir le nombre des « jeunes connus de la justice » qui circulent en liberté, menacent les bons Français, et narguent la police. Il y a un an presque jour pour jour, une trentaine de musulmans armés avaient déjà tenté de pénétrer dans la caserne de Castres pour mener une expédition punitive.
SOS racisme ne bougera pas : touche pas à mon pote, c’est pour certains potes et pas d’autres, et les militaires ne sont pas leurs potes. Reproduction autorisée, et même vivement encouragée !
501ème Régiment de chars de combat
Adjoint chef de cellule IE