L’information suivante a été révélée par le site Algerie1.com :
Dans les camps de réfugiés de Jordanie et de Turquie, peuplés selon l’ONU de 75% de femmes et d’enfants, les cheikhs arabes des pays du Golfe viennent acheter des femmes syriennes aux enchères.
La guerre en Syrie sert [aussi] à humilier le vaillant peuple syrien, à se servir de ses femmes et de ses filles pour assouvir les bas instincts de la secte des assassins [islamistes].
Ces femmes et ces filles sont kidnappées, violées et ensuite égorgées. Des musulmans viennent dans les camps pour profiter de la détresse humaine et achètent, pour quelques dollars, des femmes vendues par des réseaux esclavagistes.
Tout le monde sait, mais un sorte de voile pudique est jeté sur cette pratique. Pour les médias occidentaux, le sujet est tabou.
Le numéro deux du principal parti d’opposition turc confirme et dénonce : “Les droits de l’homme sont bafoués dans les camps des réfugiés en Turquie où se rendent les cheikhs arabes et achètent pour une somme médiocre les êtres humains”.
De plus, ajoute le responsable turc, le gouvernement turc autorise les “enfants de ces camps à s’entraîner aux armes et à combattre “.
CBS News confirme, et rapporte le témoignage d’Um Majed, vendeuse d’esclave à Amman, en Jordanie. Le téléphone de Majed ne cesse de sonner. Elle vend des filles syriennes du camp à des hommes qui cherchent des esclaves sexuelles. « Bien sûr qu’elle est mince » explique-t-elle au client, « elle est dans le camp depuis un mois ».
Les « mariages » ne durent que quelques semaines, ils servent simplement à acheter du sexe. Um Majed reçoit une commission pour chaque vente. Une jeune vierge part pour environ 5 000 dollars. « Vous voulez que je vous en trouve une plus jeune ?, demande-t-elle à son interlocuteur. « Treize ans, quatorze ans ? »
BBC s’en fait également l’écho : Kazal dit qu’elle a 18 ans mais qu’elle parait beaucoup moins. Elle vient de « divorcer » d’un homme de 50 ans d’Arabie Saoudite qui l’a achetée 3 100 dollars (2 000£). Le « mariage » a duré une semaine. « J’ai vécu avec mon « mari » à Amman, mais cela n’a pas été un heureux mariage. Il me traitait comme une esclave, et ne m’a pas respectée en tant que femme. Il était très « strict » avec moi. Heureusement que nous sommes divorcés », dit elle les yeux emplis de larmes.
« Appelez ça viol, appelez ça prostitution, vous pouvez appeler ça comme vous voulez, mais c’est profiter des plus faibles” dit Andrew Harper, représentant de l’agence pour les réfugiés l’ONU en Jordanie, qui ajoute que 500 000 réfugiées syriennes en Jordanie se tournent de plus en plus vers ces mesures de désespoir.
« Nous n’avons pas de moyens pour aider tout le monde. La plus grande majorité des réfugiés sont des femmes et des enfants. Beaucoup d’entre elles n’ont pas l’habitude d’aller travailler, alors elles se tournent vers le sexe de survivance. »
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