Notre siècle compte aussi ses découvertes sur les géants. Dans Le monde de l’inconnu de novembre 1999, Jean-Philippe Camus, doctorant en histoire médiévale, écrit qu’en 1936 l’anthropologiste allemand Larson Kohl déterra sur la rive du lac Elyasi, en Afrique du Sud, des ossements ayant appartenu à un géant. Entre 1937 et 1941, des paléontologistes et anthropologistes allemands, le Pr Gustav von Königswald et le Pr Frank Weidenreich, trouvent dans des pharmacies chinoises du continent et de Hong-Kong, plusieurs ossements humains d’une taille impressionnante. En 1944, le Pr Weidenreich fait un exposé sur ces restes de géants devant l’American Ethnological Society. Le Dr Rex Gilroy, un archéologue australien, directeur du Mount York Natural History Museum, découvre à Mount Victoria des empreintes fossilisées de pied de géants. (...) En 1874, l’historien assyriologue et archéologue François Lenormant écrit dans son encyclopédie Histoire d’après la Bible et les traditions des peuples orientaux que « les Hébreux connaissaient, parmi les plus anciennes populations de la Palestine, quelques géants ». Il y a deux ans, en Bosnie, des pyramides ont été découvertes sous des forêts et de la végétation. Les légendes parlent encore dans ce cas précis de géants-constructeurs. Nous trouvons ailleurs dans le monde d’énigmatiques pyramides qui font l’objet du plus grand silence scientifique, comme en Chine centrale, dans les plaines du Qin Chuan. L’une d’entre elle surnommée la « grande Pyramide Blanche », pointe à environ 300 mètres de hauteur, soit deux fois la taille des plus imposantes pyramides d’Egypte. D’après des manuscrits appartenant à la tradition copte l’une d’elles, celle de Khéops, aurait été construite par une race de géants.
Laurent Glauzy – Le mystère de la race des géants (2008)
Ongong