7 attaques chimiques que le gouvernement américain veut que vous ignoriezLe gouvernement américain reproche aux autres ce qu’il pratique sans discontinuer depuis des décennies.Voici un bref aperçu de quelques épisodes honteux de l’histoire afin de remettre les pendules à l’heure.
1) Les épandages de la guerre du Vietnam
L’armée américaine diffuse 70 millions de litres d’agents chimiques incluant l’agent orange entre 1962 et 1971. 400 000 personnes seront tuées ou mutilées, 500 000 nouveaux nés souffriront de déformations ou handicaps, 2 millions de personnes souffriront de cancers ou d’autres maladies.
L’armée américaine diffuse 70 millions de litres d’agents chimiques incluant l’agent orange entre 1962 et 1971. 400 000 personnes seront tuées ou mutilées, 500 000 nouveaux nés souffriront de déformations ou handicaps, 2 millions de personnes souffriront de cancers ou d’autres maladies.
2) Attaque israélienne sur Gaza en 2008-2009 (opération plomb durci).
Devant les preuves brandies par les organisations humanitaires, Israël a fini par admettre avoir bombardé la région densément peuplée qu’est la bande de gaza avec des bombes incendiaires au phosphore blanc. En représailles à ces révélations, Israêl bombarda même un bâtiment des Nations Unies dans la bande de Gaza. Aucune réaction de la communauté internationale.
3) Irak, bataille de Faludja (2004)
L’armée américaine a finit par admettre avoir effectué des bombardements au phosphore blanc sur la ville de Faludjah. Des milliers de civils, femmes et enfants périront. Le documentaire « Fallujah the hidden massacre » basé sur les témoignages des habitants et des soldats raconte comment l’armée américaine a frappé sans faire de distinctions.
4) L’armée américaine vaporise des substances radioactives sur les quartiers pauvres de Saint Louis (années 50).
Sous prétexte d’expérimenter un rideau de fumée pour protéger la population en cas d’une attaque des russes, l’armé américaine diffuse via des pompes installées sur les toits, un mélange contenant probablement une substance radioactive. Depuis ces tests, un nombre alarmant de résidents ont développé des cancers divers.
5) Guerres d’Irak et d’Afghanistan (1991, 2001 et 2003)
A l’occasion de ces conflits, les armées de la coalition diffusérent des milliers de tonnes de fines particules radioactives via les munitions à uranium appauvri causant une explosion des taux de cancers et de malformations chez les nouveaux nés. Ces régions resteront contaminées à jamais car ces isotopes radioactifs ont une durée de vie qui se chiffre en millions d’années. Côté allié, des centaines de milliers de soldats seront également contaminés (le syndrome de la guerre du golfe). La contamination à l'uranium appauvri altère le patrimoine génétique des populations, nous sommes donc dans le cas de figure typique du génocide et du crime contre l’humanité, pourtant rien n’a été fait pour punir les coupables.
6) Bombardement de Dresde (Février 1945)
En deux jours, 1 300 bombardiers larguent 3 900 tonnes de bombes à fragmentation et incendiaires qui réduisent en cendres la ville de Dresde. On évoque des centaines de milliers de morts. Il n’y avait aucune justification militaire à ce bombardement qui toucha essentiellement des réfugiés fuyant l’armée rouge.
7) Hiroshima et Nagasaki (aout 1945) Le bombardement qui fit des USA les maîtres incontestés du monde jusqu’à aujourd’hui.
« Les 6 et 8 août 1945, la bombe atomique est utilisée, pour la seule fois dans l’Histoire, contre les villes japonaises Hiroshima et Nagasaki. Les conséquences humaines ont été terribles. La bombe n’explose pas au sol, mais dans l’atmosphère. Une gigantesque boule de feu qui tue par brûlure. C’est son effet le plus mortel. A l’épicentre, la température atteint un million de degrés. Elle se réduit rapidement à mesure qu’on s’en éloigne, mais dans les 500 premiers mètres, il s’agit d’une véritable incinération. Il y a aussi l’effet de souffle : un déplacement d’air de 600 kilomètres/heure. Aucun bâtiment n’y résiste. Enfin, il y a la radioactivité. Pour indiquer le nombre de morts d’Hiroshima, je retiens le chiffre à la fin de décembre 1945 : 145 000 morts. Car quelque 70 000 personnes sont mortes dans les mois qui ont suivi, d’août à décembre 1945. Des brûlés qui auraient dû survivre à leurs brûlures mouraient de façon inexpliquée : à cause de la radioactivité. Elle a tué 30 à 50 % de ces 70 000 victimes ». « A Nagasaki, où la bombe était au plutonium (celle d’Hiroshima était à l’uranium), 70 000 personnes sont mortes également. L’histoire de la bombe débute vers 1938-39. Sur les conseils d’Einstein, le programme américain, dénommé « projet Manhattan », débute en 1942. Il va durer deux ans, coûter deux milliards de dollars de l’époque, mettre au travail 130 000 personnes dans trois grandes usines. Le projet est tenu secret. Dès septembre 1944, Roosevelt et Churchill sont conscients que l’Allemagne ne possède pas l’arme nucléaire et ils envisagent de l’utiliser contre le Japon. En juillet 1945, l’empereur du Japon envoie son fils pour négocier une paix, avec capitulation totale, mais respect de l’empereur. Seulement, on va faire traîner les choses. Des stratèges américains sérieux avaient analysé la question. Ils savaient que les Japonais étaient au bout du rouleau. 90 % de leur aviation et de leur flotte étaient détruits, il ne restait rien de leur machine industrielle. Selon ces stratèges, le nombre de victimes aurait pu se situer entre 20 000 et 30 000 ».
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