La première photo nous dévoile le merveilleux sourire d’une fillette au visage lumineux, irradiant l’innocence et la joie de vivre. La seconde photo brise le cœur et brouille les yeux de larmes.
Tombée entre les mains d’ordures, l’enfant a subi de tels sévices, de telles horreurs, qu’il ne reste d’elle qu’un petit être au visage meurtri par la souffrance, défiguré par la brutalité de ces assassins, indignes d’être considérés comme des êtres humains.
Selon la légende, rédigée en arabe, sous la photo, la petite fille syrienne aurait été torturée, violée, son visage défiguré par des saoudiens et autres psychopathes et criminels présents en Syrie pour y apporter la « démocratie » islamique.
Tombée entre les mains d’ordures, l’enfant a subi de tels sévices, de telles horreurs, qu’il ne reste d’elle qu’un petit être au visage meurtri par la souffrance, défiguré par la brutalité de ces assassins, indignes d’être considérés comme des êtres humains.
Selon la légende, rédigée en arabe, sous la photo, la petite fille syrienne aurait été torturée, violée, son visage défiguré par des saoudiens et autres psychopathes et criminels présents en Syrie pour y apporter la « démocratie » islamique.
Près de 95% des « combattants de la liberté » sont des jihadistes étrangers venus en Syrie pour y instaurer un émirat islamique et y semer la terreur et l’horreur. Leurs « glorieux faits d’arme » sont justifiés par les fatwas, émises par des « religieux » islamiques, autorisant le viol et autres perversités au nom du saint jihad.
La photo de l’enfant, au visage figé à jamais dans la souffrance, portant les stigmates de l’horreur subie, a été utilisée à des fins de propagande : une mort bien réelle pour illustrer des massacres odieux au cours desquels de nombreux enfants perdirent la vie dans des conditions atroces, chaque belligérant rejetant la responsabilité sur l’autre.
Certains accusent les forces pro-Assad, d’autres les mercenaires jihadistes arabes, personne n’assume la responsabilité de cette barbarie, et pourtant, des êtres ignobles, peu importe à quelles factions, à quelles milices ils appartiennent, se sont « amusés » avec cette petite fille, ont assouvi leurs fantasmes pervers avec une cruauté inouïe, avant de lui voler son beau sourire, son fragile souffle de vie.
Comme ailleurs dans les pays en proie à la violence des guerres de l’islam, la petite fille aux yeux pleins d’étoiles et de rêves a rencontré sur sa route des sadiques, sans pitié, sans respect pour son innocence d’enfant, qu’ils ont piétiné avec brutalité. Elle n’était à leurs yeux qu’une chose sans importance, dont on se débarrasse une fois les instincts bestiaux assouvis.
L’âme de cette enfant et celles de ses petites sœurs et petits frères d’infortune scintille désormais dans la voûte céleste, loin de la barbarie des hommes.
Les salafistes sont des malades mentaux, il faut mettre un terme à leur liberté d’agir.
La photo de l’enfant, au visage figé à jamais dans la souffrance, portant les stigmates de l’horreur subie, a été utilisée à des fins de propagande : une mort bien réelle pour illustrer des massacres odieux au cours desquels de nombreux enfants perdirent la vie dans des conditions atroces, chaque belligérant rejetant la responsabilité sur l’autre.
Certains accusent les forces pro-Assad, d’autres les mercenaires jihadistes arabes, personne n’assume la responsabilité de cette barbarie, et pourtant, des êtres ignobles, peu importe à quelles factions, à quelles milices ils appartiennent, se sont « amusés » avec cette petite fille, ont assouvi leurs fantasmes pervers avec une cruauté inouïe, avant de lui voler son beau sourire, son fragile souffle de vie.
Comme ailleurs dans les pays en proie à la violence des guerres de l’islam, la petite fille aux yeux pleins d’étoiles et de rêves a rencontré sur sa route des sadiques, sans pitié, sans respect pour son innocence d’enfant, qu’ils ont piétiné avec brutalité. Elle n’était à leurs yeux qu’une chose sans importance, dont on se débarrasse une fois les instincts bestiaux assouvis.
L’âme de cette enfant et celles de ses petites sœurs et petits frères d’infortune scintille désormais dans la voûte céleste, loin de la barbarie des hommes.
Les salafistes sont des malades mentaux, il faut mettre un terme à leur liberté d’agir.
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