Belles, brillantes, et souvent assoiffées de pouvoir, elles en font logiquement triper plus d’un. Quels sont leurs atouts charme ?
Le bébé : Najat Vallaud-Belkacem
Trop mimi, la Najat. Avec sa petite tête à traîner au Paradis du Fruit avec ses copines le samedi aprèm, la benjamine et porte-parole du gouvernement est en fait une vraie maline, qui sait parfaitement ce qu’elle fait. Elle est au top.
La Versaillaise : Valérie Pécresse
Bon, il faut aimer l’ambiance tradi-de droite, c’est sûr. Mais on en connaît plus d’un qui, sachant qu’ils n’auront jamais accès à une femme de cette classe sociale, ont un vrai béguin pour Valérie. Il fallait la voir s’énerver sur Copé et sa bande ces derniers jours, ça donnait envie de lui faire un gros câlin.
La pétroleuse: Clementine Autain
Féministe et d’extrême gauche, Clementine Autain a le profil parfait de la chieuse qui vous prenait la tête dans les manifs lycéennes, enroulée dans un kéfié, une clope roulée au bec . Un avis très arrêté sur tout, une coupe courte pour montrer qu’elle est tout sauf une pouf, elle devait logiquement nous repousser. Mais le truc, c’est qu’on la kiffe, Clem.
La bombe : Aurelie Filipetti
Bon là, c’est presque trop, en fait. De mémoire, on n’avait jamais eu de ministre comme çà, avant. L’intérêt de ce classement, c’est justement que toutes ces femmes sont quand même un peu cheums, mais que leur intelligence les rend sexy. La, c’est l’inverse.
La maîtresse d’école : Nathalie Kosciusko-Morizet
Cette beauté froide dégage quelque chose de fascinant, c’est indéniable. Son côté assez glacial et cassant, voire quelque peu méprisant, y est pour beaucoup. Son physique gracile et sa peau translucide aussi car ils tranchent agréablement avec une ambition démesurée et une mauvaise foi délicieuse.
La belle de banlieue : Rachida Dati
Malgré les années, Rachida reste un fantasme, allez savoir pourquoi. C’est sans doute parce qu’elle fait partie des rares femmes politiques à avoir intégré de manière totalement décomplexée la séduction comme atout pour faire carrière. En tout cas, on aime.
L’improbable : Marine Le Pen
On aurait pu choisir Nadine Morano, dans le même registre. L’enfer, quoi. Justement, c’est ça l’idée. Elles mériteraient toutes les deux une bonne leçon, avec fessée obligatoire, et si vous aviez la chance de leur donner, vous rentreriez pour toujours dans la légende auprès de vos potes.