L’idéologie dominante cherche à enfermer les Occidentaux dans ses postulats : elle les présente comme des « valeurs » absolues qu’on ne pourrait contester sans perdre son humanité. Les quatre coins de ce « carré magique » sont constitués par :
- le libre-échangismeéconomique voulu par les grands oligopoles mondiaux que sont les transnationales ;
- l’antiracisme négateur des réalités ethniques et culturelles et culpabilisateur de l’identité française et de la civilisation européenne ;
- l’antitradition et l’inversion des valeurs bouleversant une expérience multimillénaire et le socle familial ;
- la vision marchande et mercurienne du monde et l’arraisonnement utilitaire de la vie, de la nature, de la culture. Mais ces prétendues « valeurs » ne sont que des idoles au service d’un pouvoir. Ceux qui cherchent à s’évader de ce carcan sont très vite qualifiés de « fascistes » et, de fait, risquent d’être condamnés à la mort sociale.
Polémia, Cinq cents mots pour la dissidence