Vivez, au jour le jour, le quotidien d’un poilus sur le plus grand réseau social. DDB Paris a imaginé ce qu’un jeune Français aurait posté quotidiennement si le réseau social avait existé il y a un siècle.
Une expérience digitale inédite imaginée par DDB pour le Musée de la Grande Guerre du Pays de Meaux sur le plus grand réseau social : facebook.com/leon1914
Inauguré le 11 novembre 2011, le Musée de la Grande Guerre présente aux abords de Paris la collection publique la plus riche d’Europe sur 14-18, et offre au public une nouvelle approche du premier conflit mondial de l’Histoire, une vision moins aérienne, une vision à hauteur d’homme. Il se positionne ainsi avant tout comme un musée d’Histoire et de société, ouvert au plus grand nombre.
DDB Paris a imaginé ce qu’un jeune Français aurait posté quotidiennement si le réseau social avait existé il y a un siècle.
Après une première prise de parole très remarquée via une campagne print signée DDB Paris en novembre dernier pour le 1er anniversaire du musée, aujourd’hui l’agence lance une opération qui constitue une authentique première sur facebook, et un audacieux dispositif digital pour le Musée de la Grande Guerre.
Sur la base d’une documentation très riche fournie par le Musée, et avec la caution de l’historien Jean-Pierre Verney, DDB Paris a en effet imaginé ce qu’un jeune Français aurait posté quotidiennement si le réseau social avait existé il y a un siècle, au moment précis où un jeu d’alliances inexorables allait entraîner des millions d’hommes dans la guerre. A l’heure où 23 millions de Français racontent quotidiennement leur vie à travers leurs posts et statuts sur facebook, imaginez ce que ces mêmes internautes, plongés subitement dans le fracas du vingtième siècle, auraient eu à raconter si le réseau social avait existé en 1914.
“C’est toute l’idée de ce « facebook 1914″’ explique Michel Rouger, Directeur du Musée de la Grande Guerre. “Pour la première fois, un musée, en reprenant tous les moyens narratifs propres à ce réseau, va offrir aux Français la possibilité de vivre au jour le jour le quotidien d’un poilu. C’est surtout une manière originale pour les jeunes générations de découvrir cette période de l’Histoire, à travers un outil qui leur est familier”. Une histoire richement documentée qui se suit de façon quasi feuilletonnesque, sous forme de posts et commentaires, photos dessins, et affiches…
Une réelle prise de conscience de l’horreur vécue par ses millions d’hommes et de femmes pendant ces années tragiques de l’Histoire mondiale.
“C’est à travers des opérations comme celle imaginée par DDB pour le Musée de la Grande Guerre que le devoir de mémoire prend tout son sens ; Facebook, véritable média de masse du quotidien, va permettre une réelle prise de conscience de l’horreur vécue par ses millions d’hommes et de femmes pendant ces années tragiques de l’Histoire mondiale.” précise Jean-François Copé, Président de la Communauté d’Agglomération du Pays de Meaux.
“Avant tout, c’est une véritable histoire humaine qui est donnée à lire.” explique Jean-Luc Bravi de DDB. “Avec un personnage principal, Léon Vivien, jeune instituteur, dont la femme attend un enfant et que la guerre va arracher à son foyer pour le jeter dans la boue des tranchées. Un homme ordinaire qui raconte son quotidien sur son profil facebook. Exactement comme 23 millions de Français le font aujourd’hui, à ceci près que sa vie, à compter d’août 1914, cesse brutalement d’être aussi paisible que la nôtre.” Une histoire faite de joies et d’angoisses, de haines et d’amitiés, de patriotisme et d’horreur. Une histoire profondément humaine grâce à laquelle facebook, soudain, de simple réseau social parfois décrié pour ses apéros géants et ses dérives potentielles, se transforme en un formidable instrument de connaissance et de mémoire collective, à l’aube du centenaire de la Grande Guerre.
C’est ce parallèle, cette transposition directe d’une époque à l’autre, qui rend l’histoire de Léon Vivien encore plus poignante. L’histoire qui, de façon inédite, exploite pleinement l’ensemble des moyens narratifs offerts par facebook, débutera le 11 avril prochain. Une expérience digitale que le Musée de la Grande Guerre peut signer à juste titre : « Découvrez ce qu’aucun homme n’aurait jamais dû connaître ».
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