En relisant cette recommandation d’al-Qaïda aux candidats jihadistes publiée en 2009, je pense à Mohammed Merah. Il avait suivi ces recommandations, mais n’avait pas assez longtemps pratiqué pour un résultat optimum : « faites vous sodomiser pour vous élargir l’anus afin qu’une bombe puisse y être insérée ».
Abdullah Hassan al-Asiri, qui avait prévu d’assassiner le prince Saoudien Muhammad bin Nayef en 2009 avec une bombe cachée dans son – pardonnez moi, trou du cul, avait obéit à une fatwa d’un imam qui recommande la sodomie pour élargir l’anus des jihadistes à la taille des explosifs.
Benjamin Doherty, rédacteur au site internet The Electronic Intifada, avait dénoncé cette information comme un vulgaire hoax.
Un autre site internet, The Middle East Forum, a examiné les critiques de Doherty ainsi que les affirmations de Raymond Ibrahim qui avait révélé l’affaire, et n’a trouvé aucune preuve que l’information soit fausse.
Non seulement Abdullah Hassan al-Asiri a bien caché des explosifs dans son rectum pour assassiner le prince saoudien, mais il ressort d’une vidéo en arabe publiée en 2010 que des jihadistes ont bien sodomisé Asiri pendant plusieurs années pour agrandir son anus.
Selon la vidéo (qui a été supprimée de Youtube) mais qui a été sauvegardée par Liveleak (ci dessous), un immam du nom de Abu al-Dema al-Qasab, a déclaré avoir trouvé un moyen “innovant et sans précédent pour des opération martyres : placez des explosifs dans votre anus. Cependant, pour que cette approche fonctionne, vous devez accepter d’être sodomisé pendant un certain temps pour élargir votre anus » déclare l’imam.
Dans la vidéo, un jihadiste, probablement al-Asiri, pose des questions précises à un cheikh sur cette fatwa en faisant référence à son désir de mourir en martyr « pour rejoindre des vierges au paradis », et demande : “ai-je vraiment le droit de laisser un frère jihadiste me sodomiser pour élargir mon anus, si nos intentions sont bonnes ?
Après avoir loué Allah, le sheikh commence sa fatwa en rappelant que la sodomie est interdite par l’islam, cependant, dit-il, le jihad passe avant tout, car c’est le pinacle de l’islam, et si le pinacle de l’islam ne peut être atteint que par la sodomie, alors il n’y a aucun mal à cela.
Car la jurisprudence islamique affirme que « la nécessité rend permis ce qui est interdit ». Et si des objectifs impératifs ne peuvent être atteints qu’en faisant des choses interdites, alors il devient impératif de faire ce qui est interdit, car il n’existe rien de plus grand que le jihad.
Après avoir été sodomisé, vous devez demander à Allah qu’il vous pardonne et vous devez le louer encore plus. Et vous devez savoir que Allah récompense les jihadistes au jour de la résurrection selon leurs intentions. Et si vos intentions, avec l’aide d’Allah, sont d’obtenir la victoire de l’islam, Allah acceptera ces actions de vous.
Il est important de noter qu’il est ici rappelé à l’attention de nos nombreux lecteurs musulmans, car ils connaissent très mal leur religion, et ne cessent de rappeler que l’islam est religion de paix et d’amour, et que les pratiques des jihadistes sont contraires à l’islam, que la “nécessité rend permis ce qui est interdit.”
Ainsi, mentir est interdit mais c’est permis si cela sert l’islam.
Tuer intentionnellement est interdit, mais c’est permis pour la guerre sainte et le jihad
Le suicide est interdit, mais il est permis pendant le jihad, et le suicidé devient alors un « martyr ».
Cette règle est si essentielle, que les sultans ottomans, pendant les guerres de conquête, étaient mêmes dispensés du pèlerinage à la Mecque !
Et l’ironie est que les vrais islamophobes, les politiciens qui tentent l’apaisement par peur du jihad, les journalistes qui craignent se faire trancher la gorge au coin d’une rue s’ils dénoncent l’islam, s’imaginent pouvoir apaiser le jihad en étant plus respectueux, plus lâches, et en faisant de plus en plus de concessions.
Ils ne font que confectionner les burqas des filles de leurs petits enfants.