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J'aime les filles catholiques
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Prix Nobel
Jean-Paul Sartre a été prix Nobel de littérature ; Milton Friedman, prix Nobel d’économie ; Henry Kissinger, prix Nobel de la paix. Est-il nécessaire de préciser le crédit qu’il faut accorder à cette institution ?
N.B. : depuis la parution de cet ouvrage, le président Obama a aussi reçu le prix Nobel de la paix.
Adrien Abauzit, Né en 1984
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Drunken Sailer - Irish Rovers
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Pas d'idée de déguisement pour Mardi gras ?
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Joyeuse Saint Patrick !
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Éteignez vos téléviseurs !
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Belle et rebelle
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Saint Patrick en Vespa, oh yeah !
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Documentaire suisse sur la sexualisation précoce et forcée des enfants
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Dropkick et Whisky !
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L'humanité est faite de passion !
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Conseil pratique
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The Dubliners - Whiskey In The Jar
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Nature et rupture
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Autocentré/ Espace économique autocentré
Les oligarques européens militent pour un libre-échange extrémiste consistant à transformer l’Europe en un marché totalement ouvert au commerce des hommes, des capitaux comme des marchandises ; ce faisant, l’Union européenne prend le contre-pied de ce qui se pratique, implicitement ou explicitement, ailleurs (Etats-Unis, Japon, Chine, de nombreux pays émergents, notamment), c'est-à-dire un marché intérieur plutôt protégé et/ou une économie tournée vers l’exportation. Cette orientation vers un libre-échange total n’a apporté à l’Europe que chômage et désindustrialisation. Elle trahit aussi l’ambition initiale du marché commun, qui était conçu comme une protection commune. Au XXIe siècle, qui est un monde ouvert à la concurrence de nouvelles puissances économiques, l’Europe doit se constituer en un nouvel espace économique autocentré pour atteindre une « autosuffisance radieuse », selon l’expression d’Alexandre Soljenitsyne.
Polémia, Cinq cents mots pour la dissidence
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Lundi 24 mars au centre culturel de Serbie : Le martyre du Kosovo
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Belle et rebelle
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Bigamie
Que restera-t-il comme combat progressiste de pacotille à la gauche officielle quand auront été légalisés le cannabis, l’euthanasie, le mariage gay et la gestation pour autrui ? L’abolition du délit de bigamie.
Adrien Abauzit, Né en 1984
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Révolte contre le monde moderne !
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Suisse ou Crimée: Union européenne, l’écueil démocratique
Fondement de la liberté des peuples, libératrice de tant de jougs tyranniques d'Ancien Régime, la démocratie ne semble avoir été bonne qu'à asseoir le pouvoir d'une caste prétendument représentative. Quand les peuples développent soudain une fâcheuse tendance à vouloir s'en servir librement, les panégyriques changent alors subitement de ton.
"Anticonstitutionnel", assure un journaliste de la RTS pris de fièvre légaliste, score "soviétique" renchérit Le Temps, les russophones de Crimée ne sont pas un peuple nous explique encore un professeur d'université, ils n'ont pas droit à l'autodétermination, oubliant que tous les Etats sans exception ont fondé leur existence sur la violation du droit précédent. Les trois du Grütli avaient-ils le droit de chercher à se libérer de la tutelle Habsbourg ? Certainement pas au vu du droit international. Droit international dont on découvre finalement qu'il n'est là que pour servir la raison du plus fort en toute circonstance. Rien d'étonnant au vu de l'histoire, la seule chose qui surprend étant, somme toute, la vision de ces légions de journalistes, d'ordinaire si prompts à célébrer la conquête des libertés minoritaires sur les ordres établis, rentrer si docilement dans le rang au moindre froncement de sourcil des gouvernants.
Les récents "incidents" démocratiques, survenus en lisière de l'Union européenne, et la réaction quasi unanime de la classe médiatique nous doivent être une preuve que le journaliste n'est plus un esprit libre, indépendant, doué du pouvoir d'analyse, mais un outil, une arme du pouvoir sur le champ de bataille politique. Une arme qui a été utilisée contre l'existence même de la démocratie, par une force - l'Union européenne, qui ne tolère d'ailleurs pas la démocratie en son sein -, au nom du mantra aussi mal compris qu'incessamment asséné de la lutte pour les droits démocratiques. Depuis quelques semaines, le refrain démocratique du "monde libre" occidental sonne aussi faux que lorsque les adeptes des démocraties "populaires" en rebattaient les oreilles du monde entier. On a créé une vertu mais on l'a vidé de son sens, l'idole est en toc et l'on comprend que son clergé n'y a jamais cru. En fait, la démocratie n'est pas censée rendre libre, et ne croyez pas que vous le serez jamais vraiment... libres.
Le vote suisse du 9 février était parfaitement "constitutionnel" et son score à mille lieues d'être "soviétique", qu'importe, cette manifestation excessive de liberté démocratique est aujourd'hui sujette à sanction, les Suisses ignoraient qu'ils n'étaient pas libres de choisir. Et comme, de l'aveu même d'une euro-députée, le vote du 6 décembre 1992 fut "réparé" en catimini, gageons qu'il en sera de même de celui-ci. Le peuple suisse ne vit plus que dans l'illusion de la démocratie, comme un vieux monarque déchu, perclus de sénilité, à qui quelques vieux courtisans feraient croire qu'il règne encore pour lui épargner un choc fatal. Cette démocratie n'est en somme qu'un hochet à ralentir quelque peu l'agenda mondialiste et à forcer ses partisans à trouver de nouveaux expédients pour parvenir tout de même à leurs fins, ce qui explique l'agacement et l'impatience de l'establishement au lendemain du 9 février: Quoi ? Il va encore falloir faire des pieds et des mains pour faire semblant de respecter la volonté populaire, quelle barbe !
Quoi qu'on puisse penser du résultat du référendum en Crimée, sachant bien que la démocratie est toujours sujette aux influences des puissances, de l'argent, des partis, des médias, le rejet de son résultat par l'alliance politico-médiatique occidentale est de même nature que celui qu'a dû essuyer le vote suisse, c'est le rejet d'une idée de liberté qui se passe de toute autorisation officielle ou légale, le rêve d'un peuple qui se croit libre, c'est, en son principe, le refus de l'idée même de la démocratie.
Source
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