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Et bim !
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Belle et rebelle
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F. Hollande : "Il faut passer par la Franc-Maçonnerie"
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LES SEPT JOURS DU TALION - BANDE ANNONCE
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Européennes 2014 : le Front national en tête des intentions de vote
Selon un sondage TNS Sofres-Sopra pour RTL et le Nouvel Observateur, le Front national serait en tête des élections européennes, le 25 mai prochain. Avec 23% des voix, le parti de Marine Le Pen devancerait l'UMP (21%) et le PS (16%).
56% de Français intéressés
Les autres partis semblent largement distancés, EELV représentant 8,5% des intentions de vote, devant les listes UDI-MoDem (8%) et Front de Gauche (6%). Les listes Debout la République (3%), Lutte Ouvrière (2,5%), Nouvelle Donne (2%), Europe Citoyenne (1,5%), Nous Citoyens (1%), Alliance Écologiste Indépendante (1%) et Force Vie (0,5%) viennent clore la marche.
A noter que l'intérêt des électeurs pour le scrutin croît et dépasse pour la première fois les 50%. Ce sont 56% des Français qui s'intéressent aux élections européennes contre 44% de récalcitrants. Dans le détail, 11% des sondés ne sont "pas du tout" intéressés (-3) par le vote alors que 20% le sont "beaucoup" (+3).
Les Français ne connaissent pas Schulz et Juncker
Ce sont les électeurs UDI-MoDem et UMP qui se sentent le plus concernés par le scrutin du 25 mai (61%), devant les sympathisants FN (59%), FG, PS et EELV (56%). Seuls 41% des sondés indiquent toutefois avoir l'intention de se rendre aux urnes.
Plus étonnant, ils ne sont que 43% à tenir compte des problèmes de la construction européenne au moment de voter. La faiblesse de l'intérêt des Français peut éventuellement s'expliquer par un manque d'informations concernant les enjeux de cette élection. Ils sont en effet 46% à ignorer qui sont Martin Schulz et Jean-Claude Juncker, les deux favoris dans la course à la présidence de la Commission européenne.
Source
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14 mai 1509 : bataille d'Agnadel (Italie)
Louis XII, roi de France, bat les Vénitiens au cours de l'une des très nombreuses guerres d'Italie. Le chevalier Bayard tout juste fait capitaine par le roi, s'y fait remarquer une fois de plus.
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14 mai 1955 : création du pacte de Varsovie
En réponse à l’OTAN (avril 1949) et à l’intégration de la RFA dans l’Alliance Atlantique (oct 1954), les Soviétiques constituent leur propre alliance avec l’Albanie, la Bulgarie, la Hongrie, la RDA, la Roumanie, la Tchécoslovaquie.
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Esprit libre aux Maldives
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BFM Politique: Marine Le Pen face à Geoffroy Didier - 11/05 5/6
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L'Europe de maintenant...
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L'Autriche réduit son budget éducation... pour sauver une banque
Les Autrichiens sont en émoi : pour trouver les financements nécessaires au renflouement d’Hypo Alpe Adria, une petite banque nationalisée, le gouvernement a décidé de réduire le budget de l’éducation nationale.
Hypo Alpe Adria (HAA), qui a son siège à Klagenfurt, en Carinthie, le Land le plus méridional de l’Autriche, avait étendu son marché aux pays de l’ex-Yougoslavie (Slovénie, Croatie, Bosnie-Herzégovine, Serbie, et République de Macédoine) après la dislocation de ce pays, mais aussi à l’Italie, en Bulgarie et en Hongrie. Ces marchés lui ont assuré une croissance très rapide, souvent suspectée de reposer sur des activités mafieuses.
En 2007, la banque BayernLB avait acheté la moitié des parts d’Hypo Alpe Adria, mais après la faillite de Lehman Brothers en 2008, Hypo Alpe Adria ne parvient plus à se refinancer sur les marchés, tandis que les créances douteuses s’amassent dans son bilan. A la fin de l’année 2009, alors en grandes difficultés, elle est nationalisée pour un euro symbolique, mais les problèmes ne sont pas résolus pour autant, et la banque accumule les pertes.
En 2013, celles-ci s’élèvent à 2,7 milliards d’euros, alors que l’Etat autrichien a déjà injecté 3,6 milliards d’euros dans la banque. Le gouvernement souhaite résoudre le problème, mais la banque est invendable en l’état, et elle jouit d’une garantie accordée par le Land de la Carinthie de 12 milliards d’euros, qui, si elle était actionnée en cas de mise en faillite d’Hypo Alpe Adria, pourrait entraîner à son tour une faillite de la région, un évènement impensable que la Constitution n’a pas prévu.
Le 9 mars dernier, la banque centrale autrichienne propose de regrouper les 17,8 milliards d’euros de créances douteuses dans une « bad bank » pour en assurer la liquidation. Cependant, l’Etat doit trouver 1,4 milliard d'euros pour financer la création de cette structure, mais la coalition au gouvernement refuse d’alourdir le déficit au risque de dépasser la limite de 3% prévue par le Traité de Maastricht.
Le gouvernement a donc décidé de trancher dans le budget de l’éducation, et de le réduire de 57 millions d’euros pour cette année, et de 60 millions d’euros pour l’année prochaine. L’une des mesures les plus importantes pour parvenir à cette économie porte sur le nombre d’élèves par classe, qui pourra désormais excéder le nombre de 30. Mais le plan prévoit également d’autres dispositions impopulaires. Selon certains députés, le gouvernement devra trouver 200 millions d’économies au total, ce qui pourrait se traduire par d’autres mesures, telles qu’un gel des salaires des professeurs.
Cette solution ne réjouit guère les Autrichiens. Les associations de parents d’élèves sont furieuses, et le syndicat des enseignants a indiqué «ne comprendre absolument pas pourquoi nos enfants devrait payer pour les banques et les spéculateurs ». Certains redoutent que les mesures ne dégradent encore davantage le classement de l’Autriche au PISA de l’OCDE, où l’Autriche se classe moyenne.
Source
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l'Islam à contre Coran partie 2
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Vague de vandalisme en Israël avant la visite du Pape
Ces actes antichrétiens et antimusulmans sont attribués à des activistes religieux d'extrême droite, au nom du «prix à payer».
Pneus crevés, graffitis blasphématoires ou racistes, évêque menacé de mort: l'Église catholique de Terre sainte a haussé le ton ce week-end après la récente série d'actes antichrétiens, mais aussi antimusulmans, perpétrés à Jérusalem ainsi que dans le nord d'Israël. Ces dégradations, imputées à des extrémistes juifs, «empoisonnent l'atmosphère de coexistence et de coopération, tout spécialement à deux semaines de la visite du pape François», a déploré Mgr Fouad Twal. «Le gouvernement doit s'inquiéter parce que cela nuit à l'image d'Israël à l'étranger», a en outre estimé le patriarche latin de Jérusalem, qui dénonce la passivité de l'État hébreu et l'impunité dont bénéficient, selon lui, les fauteurs de troubles.
Ces actes de vandalisme, en nette recrudescence depuis le début de l'année, s'inscrivent dans la tradition du «prix à payer» exigé depuis 2008 par les colons radicaux et autres activistes religieux d'extrême droite. En s'attaquant ainsi aux biens des populations palestiniennes de Cisjordanie et arabes d'Israël, ils prétendent se faire réparation des limites imposées par l'armée à leur entreprise de colonisation. Un phénomène que le département d'État américain, symbole marquant, vient pour la première fois d'évoquer dans son rapport annuel sur le terrorisme.
Selon le décompte opéré par la police israélienne, plus d'une vingtaine d'actes antichrétiens ou islamophobes ont été perpétrés depuis le début de l'année. L'église de Tagbha, édifiée à l'endroit où Jésus aurait multiplié les pains, a été profanée fin avril. Peu auparavant, des vandales avaient tenté de mettre le feu à une mosquée d'Umm al-Fahm. À Nazareth, l'évêque Giacinto-Boulos Marcuzzo a reçu une missive le menaçant de mort tandis qu'à Jérusalem, le graffiti «Mort aux Arabes, aux chrétiens et à tous ceux qui haïssent Israël», a été inscrit sur un édifice propriété du Vatican.
À en croire la presse israélienne, la police et le Shin Beth redoutent que certains groupes d'extrême droite ne profitent de la visite du Saint-Père pour tenter un coup d'éclat dans l'espoir d'attirer l'attention sur eux. Vendredi, la custodie franciscaine de Terre sainte a d'ailleurs été discrètement priée de retirer une banderole représentant le pape François, alors qu'elle avait été déployée à l'entrée de la vieille ville. Officiellement, un problème d'ordre réglementaire serait à l'origine de cette demande, qui n'a pas été suivie d'effet. «En réalité, on nous a fait comprendre que notre banderole risquait d'être perçue comme une provocation par certains extrémistes juifs», confie une source proche du patriarcat.
Des individus «isolés»
La venue du Pape, les 25 et 26 mai prochain, électrise tout particulièrement les rabbins et élèves d'un séminaire talmudique installé sur le mont Sion, à deux pas du lieu supposé de la tombe du roi David. Ceux-ci redoutent que le gouvernement israélien ne saisisse l'occasion pour modifier le statu quo qui régit l'usage de ce lieu et autoriser les chrétiens à célébrer la messe dans le Cénacle, situé au premier étage du même édifice. «Une telle décision porterait atteinte au caractère sacré de notre sanctuaire», s'inquiète le rabbin Avraham Goldstein, responsable de cette yeshiva.
«Tous ces extrémistes se contentent pour l'heure de faire des graffitis mais il ne faut pas s'y tromper, met en garde Gadi Gvaryahu, président de l'ONG Tag Meir. Ils s'inscrivent dans la même tradition idéologique et spirituelle que l'auteur de la tuerie d'Hébron (1994) ou l'assassin de Yitzhak Rabin (1995). C'est pourquoi le gouvernement doit mettre fin à leur impunité.»
Le romancier Amoz Oz, pour sa part, a fait sensation en qualifiant ces activistes de «néonazis». «On parle de “prix à payer” ou de “jeunes des collines”, mais nous devons regarder le monstre en face et l'appeler par son vrai nom», a-t-il récemment justifié, tandis que divers responsables politiques ont réclamé l'inscription de ces groupes sur la liste des organisations terroristes.
Ces actes de vandalisme, en nette recrudescence depuis le début de l'année, s'inscrivent dans la tradition du «prix à payer» exigé depuis 2008 par les colons radicaux et autres activistes religieux d'extrême droite. En s'attaquant ainsi aux biens des populations palestiniennes de Cisjordanie et arabes d'Israël, ils prétendent se faire réparation des limites imposées par l'armée à leur entreprise de colonisation. Un phénomène que le département d'État américain, symbole marquant, vient pour la première fois d'évoquer dans son rapport annuel sur le terrorisme.
Selon le décompte opéré par la police israélienne, plus d'une vingtaine d'actes antichrétiens ou islamophobes ont été perpétrés depuis le début de l'année. L'église de Tagbha, édifiée à l'endroit où Jésus aurait multiplié les pains, a été profanée fin avril. Peu auparavant, des vandales avaient tenté de mettre le feu à une mosquée d'Umm al-Fahm. À Nazareth, l'évêque Giacinto-Boulos Marcuzzo a reçu une missive le menaçant de mort tandis qu'à Jérusalem, le graffiti «Mort aux Arabes, aux chrétiens et à tous ceux qui haïssent Israël», a été inscrit sur un édifice propriété du Vatican.
À en croire la presse israélienne, la police et le Shin Beth redoutent que certains groupes d'extrême droite ne profitent de la visite du Saint-Père pour tenter un coup d'éclat dans l'espoir d'attirer l'attention sur eux. Vendredi, la custodie franciscaine de Terre sainte a d'ailleurs été discrètement priée de retirer une banderole représentant le pape François, alors qu'elle avait été déployée à l'entrée de la vieille ville. Officiellement, un problème d'ordre réglementaire serait à l'origine de cette demande, qui n'a pas été suivie d'effet. «En réalité, on nous a fait comprendre que notre banderole risquait d'être perçue comme une provocation par certains extrémistes juifs», confie une source proche du patriarcat.
Des individus «isolés»
La venue du Pape, les 25 et 26 mai prochain, électrise tout particulièrement les rabbins et élèves d'un séminaire talmudique installé sur le mont Sion, à deux pas du lieu supposé de la tombe du roi David. Ceux-ci redoutent que le gouvernement israélien ne saisisse l'occasion pour modifier le statu quo qui régit l'usage de ce lieu et autoriser les chrétiens à célébrer la messe dans le Cénacle, situé au premier étage du même édifice. «Une telle décision porterait atteinte au caractère sacré de notre sanctuaire», s'inquiète le rabbin Avraham Goldstein, responsable de cette yeshiva.
«Tous ces extrémistes se contentent pour l'heure de faire des graffitis mais il ne faut pas s'y tromper, met en garde Gadi Gvaryahu, président de l'ONG Tag Meir. Ils s'inscrivent dans la même tradition idéologique et spirituelle que l'auteur de la tuerie d'Hébron (1994) ou l'assassin de Yitzhak Rabin (1995). C'est pourquoi le gouvernement doit mettre fin à leur impunité.»
Le romancier Amoz Oz, pour sa part, a fait sensation en qualifiant ces activistes de «néonazis». «On parle de “prix à payer” ou de “jeunes des collines”, mais nous devons regarder le monstre en face et l'appeler par son vrai nom», a-t-il récemment justifié, tandis que divers responsables politiques ont réclamé l'inscription de ces groupes sur la liste des organisations terroristes.
«Le terrorisme, ce sont des meurtres ou des tentatives de meurtres, pas des graffitis», leur a répliqué le ministre Uri Ariel, proche des colons. De même, le porte-parole de la police s'est appliqué à relativiser l'ampleur du phénomène. «Nos investigations démontrent pour l'heure que ces incidents ont été commis par des individus isolés et le plus souvent sans préméditation, assure Mickey Rosenfeld. Nous avons renforcé en conséquence nos patrouilles dans les zones problématiques et déploierons naturellement tous les moyens nécessaires pour garantir la sécurité du pape François.»
Source
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À Rouen, une pierre runique taguée devant l'abbatiale Saint-Ouen
La pierre se trouve près de l’abbatiale Saint-Ouen à Rouen : c’est une copie de « la grosse pierre de Jelling offerte à la ville par le Danemark, lors du millénaire de la Normandie en 1911 », rappelle Le P’tit Pat rouennais. La pierre runique comme on l’appelle, faisant référence à ces pierres essentiellement érigées dans les pays scandinaves, a été recouverte d’inscriptions bleues. Des tags, qui ne passent pas inaperçus et détonent sur cet élément du petit patrimoine.
Un art pour les uns, du vandalisme pour les autres
Elevés au rang d’expression artistique par certains, décriés et ressentis comme des pollutions visuelles par les autres : les tags qui recrouvrent les murs des villes (mais pas seulement) représentent un vrai casse-tête pour les élus qui savent bien qu’à peine « nettoyés », ils refleurissent de plus belle. D’ailleurs, nombre de « grafeurs », « tagueurs » et autres adeptes du « graffiti » vous le diront : les espaces vides ont un pouvoir d’attraction sur eux et créent l’envie immédiate de les recouvrir de dessins… souvent incompréhensibles pour le plus grand nombre, mais tous codés et porteurs de signatures. Ainsi, les tagueurs se reconnaissent entre eux.
Toutefois, là où le problème devient plus sensible, c’est lorsque ces tags recouvrent des œuvres d’art, des lieux de patrimoine. Là, les opérations se compliquent : On n’a pas le droit d’intervenir sans les préconisations de la Direction régionale des affaires culturelles (DRAC) » confie-t-on à demi-mots, dans les services de la ville de Rouen, qui soulignent que les procédures sont longues, complexes à mettre en application… retardant souvent d’autant la remise en état des éléments de patrimoine dégradés.
Quelle solution pour protéger le petit patrimoine des tags ?
La solution pourrait donc être de prévenir les tags en protégeant les œuvres comme la pierre runique de Jelling. Le P’tit Pat Rouennais signale d’ailleurs qu’à Jelling, où se trouve l’original de la pierre runique, on a opté pour une protection dans une sorte de coffre de verre : le patrimoine reste ainsi visible sans risque de dégradation. Des dégradations qui touchent d’ailleurs d’autres sites de la ville, à l’image de la statue de Rollon, qui a déjà été victime de vandales à plusieurs reprises.
Source
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Foo fighters - Let It Die
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Plus que 11 passages avant le kebab gratuit #Européennes 2014
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Belle et rebelle
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Itinéraire : Dominique Venner - I - Souvenirs
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La fin d'une époque
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The Cranberries - Do You Know
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