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Bygmalion: l'UMP aurait payé 20 millions d'euros

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L'UMP a réglé pendant la campagne de Nicolas Sarkozy en 2012 près de 20 millions d'euros à une filiale de Bygmalion, agence de commmunication dirigée par des proches de Jean-François Copé, affirme ce jeudi Libération, assurant que certains des évènements généreusement rétribués semblent fictifs.

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Hécatombe des abeilles : un étonnant refus de savoir

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La Commission européenne vient de publier un rapport d'étude épidémiologique qui concerne les mortalités de colonies d'abeilles dans 17 Etats européens, dont la France. Dans ce rapport, un facteur de mortalité a été omis par Bruxelles : les pesticides. Un choix moins scientifique que politique pour Gérard Arnold, directeur de recherche au CNRS.

La Commission européenne vient de publier un rapport d'étude épidémiologique (Epilobee) qui concerne les mortalités de colonies d'abeilles au cours de la période allant de l'hiver 2012 à l'été 2013, dans 17 Etats européens, dont la France. Cette étude a été financée à hauteur de 3,3 millions d'euros par Bruxelles, auxquels se rajoutent les contributions financières de chacun des Etats membres. 

Des voix se sont empressées de juger les résultats de cette étude, moins mauvais qu'attendu, considérant que certains d'entre eux étaient même encourageants. Pourtant, une lecture attentive du rapport montre que la situation demeure catastrophique pour certains pays et, en particulier, pour la France et la Belgique. Les taux annuels de mortalité des colonies constatés en France au cours de cette période étaient très importants : de 14,1 % au cours de l'hiver 2012 et 13,6 % au cours du printemps et de l'été suivants. Soit une mortalité de l'ordre de 28 % en moins d'un an (trois trimestres) ! 

De quoi sont donc mortes ces colonies d'abeilles ? A ce stade, le rapport n'apporte pas de réponse et, d'ailleurs, le protocole de cette étude - qui va être poursuivie cette année - ne permettra pas d'obtenir une réponse scientifique définitive. Parce qu'il présente une étrange lacune. Alors qu'il est globalement admis que les causes de mortalité des abeilles relèvent de deux grandes catégories de facteurs : des agents biologiques (bactéries, virus, acariens parasites, frelons prédateurs, etc.) et des pesticides, le protocole de cette étude ne considère ici qu'un seul groupe de facteurs, les agents biologiques, et pas les pesticides ! C'est une erreur grave, car non seulement les pesticides peuvent agir par eux-mêmes, mais aussi en interaction avec les facteurs biologiques. Or, on ne trouve que ce que l'on cherche et, en ne recherchant que les agents biologiques, on ne risque pas d'incriminer, éventuellement, les pesticides ou leurs interactions avec des agents biologiques... Ce choix de Bruxelles n'est pas un choix scientifique, mais politique

Qui pis est, les chiffres de mortalité des colonies ne rendent pas compte, à eux seuls, de l'état de santé des colonies d'abeilles. Il a été souvent montré que de nombreuses colonies d'abeilles s'affaiblissent, avec comme conséquence une diminution des récoltes de miel qui les pénalise en particulier pour leur développement à long terme. Moins de récoltes pénalise aussi les apiculteurs, et particulièrement les professionnels, qui en tirent leurs revenus d'éleveurs. Enfin, et encore plus inquiétant, l'affaiblissement des abeilles domestiques et sauvages pénalise aussi leur activité de pollinisation, indispensable pour plus de 80 % des plantes cultivées et sauvages

Pour obtenir des réponses sérieuses à la question de la mortalité des abeilles en Europe, il est donc nécessaire de poursuivre cette étude en ne négligeant pas des facteurs importants comme les pesticides, auxquels les abeilles domestiques - mais aussi les milliers d'espèces d'abeilles sauvages - sont largement exposées en Europe. Ce sont les insecticides, bien sûr, mais aussi les autres familles (fongicides, herbicides, acaricides, etc.) qui peuvent entraîner des effets négatifs, par eux-mêmes, ou en interactions avec les insecticides et les agents pathogènes. Concernant les pesticides, il a été montré par plusieurs avis de l'Autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa) que les méthodes d'évaluation de leurs effets sur les abeilles actuellement utilisées souffrent de très graves faiblesses et doivent être profondément révisées. La Communauté européenne, qui considère que la santé des abeilles est une priorité, se doit de fournir les moyens de financer des recherches appliquées sur la mise au point de ces méthodes. Il y a urgence !

Un Syrien balance la vérité sur RMC !

Girl from the North Country - Lions

Belle et rebelle

Le projet Manhattan du 21ème siècle: l'arme fatale de Washington contre la Russie est financière

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Les Etats-Unis sont peut-être sur le point de déployer une arme d’un nouveau genre contre la Russie : leur contrôle sur le système bancaire mondial, étayé par leur réseau d’alliances et l’accord résigné des pays neutres, affirme Ambrose Evans-Pritchard dans le Telegraph. Il n’hésite pas à parler de « bombe à neutron financière » pour qualifier cet instrument de guerre économique qu’il a surnommé le « Projet Manhattan du 21ème siècle » (le nom de code du projet qui a abouti au développement de la première bombe atomique aux Etats-Unis). 

« Le nouveau jeu géopolitique est peut-être plus efficace et subtil que les compétitions géopolitiques du passé, mais il n’en est pas moins brutal et destructeur », écrit Juan Zarate, un haut fonctionnaire du Trésor américain, dans son livre : « Treasury's War: the Unleashing of a New Era of Financial Warfare », qui est l’un des architectes de ce programme. 

Le déclencheur de cette mesure est l’émission d’une « lettre écarlate », dont la procédure est décrite dans la Section 311 de l’US Patriot Act, un ensemble de règles qui ont été édictées après les attentats du 11/9 pour lutter contre le financement du terrorisme. Dès qu’il est avéré qu’une banque participe au financement d’activités terroristes ou de blanchiment d’argent, elle devient « radioactive » et « prise dans l’étreinte fatale du boa constrictor », écrit Zarate. Concrètement, les Etats-Unis vont intervenir pour stopper toutes les transactions qu’elle pourrait avoir avec d’autres institutions financières afin de supprimer ses possibilités de financement et étouffer ses activités. Le procédé est efficace, même si la banque en question n’effectue aucune opération aux Etats-Unis. Les banques européennes et chinoises se soumettent aux diktats des régulateurs américains, et participent à ce boycott. 

Ce dispositif aurait été utilisé une première fois contre l’Ukraine en décembre 2002. Les banques ukrainiennes ont été accusées de blanchir de l’argent provenant de réseaux mafieux russes. La Birmanie, Chypre, la Biélorussie, la Lettonie, la Corée du Nord et l’Iran en ont aussi été des cibles

Mais avec la Russie, cette guerre pourrait prendre une nouvelle dimension. La Russie est le plus gros producteur d’énergie au monde, elle détient un des arsenaux nucléaires les plus puissants du monde, des équipes scientifiques de premier plan, et elle est étroitement liée aux économies de l’Est de l’Europe, ainsi qu’à l’Allemagne. Zarate estime qu’il est déjà trop tard pour reprendre le contrôle en Ukraine, que la Maison Blanche tergiverse trop, et qu’elle aurait déjà dû commencer à resserrer le nœud coulant. « Ils devraient arrêter de prendre des gants. Plus ils attendent, et plus ils devront mettre le paquet », dit-il.

Il pense qu’il s’agira d’une escalade calibrée, et que la « lettre écarlate » serait dans un premier temps émise contre les banques russes qui aident le régime de Bachar el-Assad en Syrie. Les sociétés d’armement russes, celles qui exportent des matières premières et de l’énergie pourraient aussi être ciblées – en essayant de ne pas impacter les intérêts de BP en Russie, précise-t-il. Au pire, les Etats-Unis pourraient tenter d’étouffer Gazprom.

« Le président Poutine sait exactement ce que les Etats-Unis peuvent faire avec leurs armes financières. La Russie avait été incluse dans la boucle à l’époque où les deux pays étaient « alliés » dans la bataille contre le terrorisme jihadiste. M. Poutine avait nommé le loyaliste Viktor Zubkov, l’ex-Premier ministre pour s’occuper des relations avec le Trésor américain », écrit Evans-Pritchard.

Les pays qui ont soutenu la Russie dans la crise ukrainienne, le Venezuela, la Bolivie, Cuba, le Nicaragua, la Biélorussie, la Corée du Nord, la Syrie, le Soudan, le Zimbabwe et l’Arménie, sont déjà étiquetés comme des pays « marginaux » et trop peu nombreux pour que Poutine puisse s’appuyer dessus. Depuis le début de la crise, la banque centrale russe tente de défendre la parité du rouble en vendant ses réserves de dollars. Celles-ci ont fondu de 35 milliards de dollars, et poursuivre cette politique risque d’aggraver la récession qui se profile en Russie.

Selon Harold James, un professeur de Princeton, le monde est tellement interdépendant qu’il ne sera pas possible de contenir les effets de cette guerre financière et qu’elle pourrait déclencher une réaction en chaîne comparable à celle qu’a provoquée la chute de la banque Lehman Brothers en 2008. « Lehman était une petite institution comparée aux banques autrichiennes, françaises et allemandes qui sont très exposées au système financier russe. Un gel de actifs russes pourrait être catastrophique pour les marchés financiers européens, et en fait, ceux du monde entier », estime-t-il.

Cependant, la banque de Russie vient d’imposer des stress-tests simulant un gel des comptes et une incapacité de se refinancer à l’étranger pour les banques russes. Selon les premiers résultats, le système bancaire russe tel qu’il était au début de l’année 2014 pourrait survivre à ce scenario.

Pour l’instant, les Américains n’ont sanctionné qu’une seule institution financière russe pour l’annexion de la Crimée, la banque Rossiya. Mais les Russes s’attendent à ce que la plus grande banque russe, Sberbank, se retrouve en ligne de mire. La Russie prépare actuellement un nouveau système de paiement national qui pourrait se substituer à Visa.

D’après Evans-Pritchard, les Russes pourraient riposter en lançant des cyber-attaques, un domaine où ils ont démontré leur expertise en 2007 contre l’Estonie. En 2012, Leon Panetta, le secrétaire de la Défense américain, avait mis en garde contre un possible « Cyber Pearl Harbour » : « Ils pourraient fermer le réseau électrique sur de vastes pans du pays. Ils pourraient faire dérailler des trains de passagers, ou, encore plus dangereux, faire dérailler des trains de passagers contenant des produits chimiques dangereux. Ils pourraient contaminer les sources d’alimentation en eau dans des grandes villes », avait-il dit.

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Le petit pas que Nicolas Dupont-Aignan refuse de franchir…

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J’aime bien Nicolas Dupont-Aignan. Il est sympathique et me rappelle furieusement le groupe Partenaire Particulier — des chanteurs d’école de commerce des années 80. Il tient habituellement quelques propos roboratifs qui laissent penser que la droite française n’est pas définitivement morte, tuée par le politiquement correct ou l’accusation de fascisme qui refleurit chaque année depuis 60 ans. Frappés au coin du bon sens, ses propos sur les Roms ou sur les immigrés font regretter qu’il lui manque de solides convictions sur la famille, le mariage, la défense de la vie, et autres sujets qui n’ont rien d’accessoire. Ils sont même indissociables d’une dénonciation bienvenue des ravages du mondialisme, de l’ultralibéralisme et de cet européisme béat qui pollue toujours les esprits d’une bonne partie de la droite française et de ses électeurs. 

Mais il est un pas que Nicolas Dupont-Aignan refuse de franchir, c’est celui de l’union des — vraies — droites. On ne l’a pas encore entendu dire qu’il lui semblait indispensable de former un vaste conglomérat souverainiste, patriote, antimondialiste, et fermement décidé à unir ses forces au-delà des divergences légitimes d’appréciation pour remettre notre pays sur le droit chemin. Il restera donc le chef d’un micro-parti. 

Or, la configuration actuelle des partis politiques rend indispensable une première phase : faire exploser l’UMP. Actuellement, seul le vote FN semble utile pour cela. Même si les Dupont-Aignan, Boutin, Vanneste, Sens commun et autres sont plus sympathiques que Marine Le Pen et son entourage, ils sont incapables de dynamiter l’énorme machine et de provoquer la saine recomposition de la droite autour des vrais clivages actuels : l’Europe, la place de l’Homme dans la société, l’identité nationale. 

Certes, ils ne sont pas d’accord sur tout. Difficile de confronter notre ami Christian Vanneste à Steeve Briois, Christine Boutin à Florian Philippot. Certes, le rapprochement avec le FN reste une opération risquée qui vous grille médiatiquement et sans délai. Mais quand la maison brûle, discute-t-on du numéro des pompiers ? 

Que fera Dupont-Aignan de son petit pourcentage aux européennes, s’il ne peut l’agréger à un conglomérat uni par quelques principes clairs ? Ni système, ni extrêmes : la formule percute. Et après ? S’il continue de clamer son rejet de toute alliance avec le Front national, il terminera comme tous les souverainistes : isolé, ou assimilé par l’UMP. Dans les deux cas, on ne les entend plus. 

Allons, Monsieur Dupont-Aignan, Marine Le Pen n’est pas le diable. C’est une partenaire particulière, pas trop timide, avec une bonne dose de savoir-faire. Une petite conversation entre vous ne vous tente vraiment pas ? 

L’année du centenaire de l’union sacrée, alors que nous commémorons le sacrifice des pantalons rouges de 1914, tombés pour la défense de leur patrie, nous aimerions vous entendre tous ensemble crier : Debout la France !

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The Cardigans My Favourite Game


Quand Cendrillon épouse un chanteur de rap...

On va s'arrêter là finalement...

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250 manifestants anti-Tafta arrêtés à Bruxelles

Premier colloque Dominique Venner demain à la Maison de la Chimie

L'incroyable photo du conseiller d'Erdogan qui frappe un manifestant

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L'agresseur, directeur adjoint du cabinet du Premier ministre turc, a infligé plusieurs coups de pieds à un homme à terre. 

Il faut presque se pincer pour y croire, mais les images sont formelles : un proche conseiller de Recep Tayyip Erdogan a donné plusieurs coups de pieds à un manifestant à terre lors d'un déplacement du Premier ministre turc à Soma, le 14 mai, au lendemain de l'explosion qui a tué des centaines de personnes dans une mine de charbon.




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Kid Rock - Bawitdaba


Belles, rebelles et libres

La revanche de Poutine

forum des jeunes du SIEL le 21 juin : "La Droite pour la civilisation française"

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C'est beau mille ans de progrès !!!

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