Un commando terroriste de l'IRA (armée républicaine irlandaise) tire trois obus de mortier contre le 10 Downing street à partir d'une camionnette aménagée en poste de tir et garée à moins de 500 mètres de là. La résidence du chef du gouvernement britannique est prise pour cible au moment où John Major tient une réunion importante concernant la guerre du Golfe. Les obus ratent la salle du conseil mais soufflent toutes les vitres. Quatre policiers sont blessés.
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7 février 1991 : tir au mortier contre le Premier ministre britannique (Londres)
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Dextra Versailles recevra mercredi 12 février Aymeric Chauprade !
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Les gens intelligents n'écoutent pas Beyoncé
C'est prouvé "scientifiquement". Les élèves qui obtiennent les moins bonnes notes au SAT (Scholastic Assessment Test, l'examen le plus important aux États-Unis pour le passage à l'université) sont fans de Beyoncé, Lil Wayne, Jay-Z, Justin Timberlake ou autres Akon. C'est ce que démontre une étude statistique de Virgil Griffith, un hacker américain qui s'est amusé à comparer les performances scolaires de jeunes lycéens avec les musiques qu'ils écoutent sur Facebook. Ainsi, 133 artistes ont été répertoriés, et leur classement semble indiquer que les meilleurs élèves écoutent Beethoven, Sufjan Stevens, Bob Dylan ou encore Radiohead. Les élèves "moyens", eux, seraient adeptes de Frank Sinatra, Bob Marley et Elton John.
"Est-ce que nos goûts musicaux disent quelque chose de notre intelligence ?" Telle est la question à laquelle a voulu répondre le hacker par ses recherches. Il a collecté sur Facebook le nom des dix musiques les plus appréciées par les élèves de 1 352 écoles avant de croiser ces résultats avec leurs scores au SAT. Du propre aveu du "scientifique", les résultats valent ce qu'ils valent, et ne prouvent pas qu'il existe un lien de causalité entre les deux. D'autant moins que le SAT est un test qui évalue moins l'intelligence des étudiants que leur logique et leur mémoire. Mais cela n'empêche pas le graphique (ci-dessous) de circuler massivement sur Internet depuis 2009 !
Et que disent nos lectures ?
Virgil Griffith est un habitué du buzz. En 2007, il avait acquis une certaine renommée en créant WikiScanner, un logiciel permettant d'étudier, à travers les adresses IP, les liens entre les millions de modifications anonymes faites sur Wikipédia et des organisations susceptibles d'être à l'origine de ces modifications. Ce qui favorise une évaluation de la neutralité des intervenants quant à l'article sur lequel ils interviennent. WikiScanner a par exemple montré que la scientologie et la CIA modifiaient régulièrement les articles de l'encyclopédie participative.
Le jeune hacker, étudiant à l'Institut de technologie de Californie, s'est aussi intéressé à la littérature. Il nous apprend que les gens "intelligents" ne lisent pas la Bible, ni Fahrenheit 451, ni Le diable s'habille en Prada, mais Cent ans de solitude de Gabriel García Márquez, Lolita de Nabokov et L'économie saugrenue de Steven Levitt. À bon entendeur.
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Les neurosciences vont-elles définitivement cramer la théorie du genre ?
Selon une étude réalisée par des scientifiques américains, les cerveaux féminins et masculins présentent des connexions totalement différentes, ce qui explique pourquoi les hommes et les femmes n’excellent pas dans les mêmes tâches.
Les chercheurs, qui ont scanné les cerveaux de près de mille jeunes âgés de 8 à 22 ans, ont noté des différences significatives entre les deux sexes.
Ainsi, les connexions entre l’hémisphère gauche et droit sont très développées chez les femmes alors que dans le cas des hommes, ce sont les connexions entre la partie avant et la partie arrière du cerveau qui sont plus développées.
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GANG CALAVERA - Hasta la Muerte
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C'est l'heure... de la révolution !
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Nirvana - You Know You're Right
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Un an de prison ferme pour le lanceur de chats
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Belle et rebelle
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Jaws, la vague presque indomptable
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Les députés UMP imitent la sirène des pompiers à la fin de l'intervention de Jean-Marc Ayrault
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Thai Prison Fights
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La France, numéro un mondial des demandes de suppression de tweets
Au second semestre 2013, les autorités et les associations françaises ont découvert Twitter. C'est ce que l'on pourrait penser lorsqu'on se penche sur les statistiques publiées, jeudi 6 février, par le réseau social.
Au premier semestre de l'année 2013, les autorités françaises ont déposé seulement trois demandes de suppression de contenu auprès de Twitter. Au second semestre, ce chiffre est multiplié par 100 : entre le 1er juillet et le 31 décembre 2013, 306 demandes ont été adressées à Twitter, visant un total de 146 comptes.
LA FRANCE COMPTE POUR 87 % DES DEMANDES
Tout aussi surprenant, les demandes de suppression de contenu émanant de la France représentent 87 % du nombre total de requêtes similaires dans le monde. C'est donc essentiellement à la France que l'on doit le rebond du nombre mondial de demandes de retrait, de 60 au premier semestre à 365 au second.
Le réseau social précise sur son site que « plus de 300 demandes »émanent d'une « association nationale » et concernent des contenus « illégaux et discriminatoires ».
Ce chiffre s'explique-t-il par le rapprochement opéré à la fin de l'été 2013 entre l'Union des étudiants juifs de France (UEJF) et le réseau social ? Après une bataille légale et politique dans laquelle s'était impliqué le gouvernement, Twitter avait été obligé de fournir des informations liées à certains comptes ayant proféré des blagues à caractère raciste et antisémite : mais il s'agit là d'une autre catégorie de demande, et pas d'une demande de retrait.
Joint par Le Monde.fr, un porte-parole de l'UEJF s'est étonné de ces 306 demandes, tout en reconnaissant avoir établi un « contact privilégié » avec le réseau social concernant la lutte contre les contenus illicites.
LA FRANCE PLUS DISCRÈTE POUR LES AUTRES TYPES DE DEMANDE
Le chiffre de 306 comprend les requêtes provenant des autorités administratives ainsi que de certains partenaires de Twitter (comme SOS-Homophobie en France), qui peuvent signaler de manière prioritaire des contenus qu'ils estiment illégaux. Twitter déclare par ailleurs avoir satisfait environ un tiers des demandes de l'Etat français, aboutissant au retrait de 144 tweets.
Avec trois demandes de retrait faites par la justice, la France ne sort pas particulièrement du lot, même si le faible nombre de requêtes de justice au niveau mondial – 13 – rend difficile toute comparaison.
Enfin, avec 57 demandes d'informations liées à ses utilisateurs, la France est le quatrième pays le plus demandeur auprès du réseau social, loin derrière les Etats-Unis (833 demandes). Cependant, lorsqu'on rapporte ce chiffre au nombre total d'utilisateurs réguliers du réseau social, on note que France et Etats-Unis jouent dans la même cour : 0,25 demande pour 10 000 comptes en France et 0,17 aux Etats-Unis.
Source
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La sodomie il faut que ce soit bien fait, sinon ça s'appelle de la politique...
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Valls provoqué en direct par Philippot (FN) quand même !
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Muse - Animals
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Le mythe du droit de cuissage
Aux origines du mythe : le rejet des contrôles sur le mariage exercés par les seigneurs et par l’Eglise
Le corpus documentaire qui a nourri la rêverie des juristes, littérateurs ou historiens portés à justifier l’existence du cuissage renvoie en fait à divers droits, réels ou symboliques, acquittés au seigneur par ses serfs dans certains cas de mariages. Le nom usuel de cette taxe est « formariage ».
Les textes qui en font mention ne prêtent guère à controverse. « Il faut noter que quiconque tient un vilainage plénier, s’il marie sa fille hors de la terre de Saint-Michel, est tendu de verser 18 deniers ; et celui qui tient moins verse en proportion de ce qu’il tient » (Article XXV du censier de l’abbaye du Mont-Saint-Michel). « Quand le vilain marie sa fille hors du village, il doit trois sous de cullage », peut-on lire également dans le prolyptyque de Fécamp de 1235.
En effet, si la fille d’un sert vient à se marier hors de ses terres, le seigneur a un manque à gagner, puisqu’il perd un sujet, et les droits qu’il aurait pu percevoir sur une éventuelle descendance.
Peu à peu pourtant le servage disparaît, et le statut « d’homme de corps » se raréfie. « Sa raréfaction relative ne pouvait qu’accentuer l’étrangeté de statut et multiplier les interprétations qu’on donnait à son origine. L’intensité de la représentation et la réalité quantitative se trouvent en relation inverse », note Alain Boureau.
Ainsi le mythe du droit de cuissage tire son origine de l’ambiguïté de certains termes en usage pour désigner le formariage. Il en vient à résumer le statut juridique « d’homme de corps » totalement dépendants de leur seigneur, jusque dans leur intimité. Il « apparaît comme l’origine, la perversion ou l’emblème de la servitude », dont la mémoire perdure, même chez ceux qui y ont échappé depuis longtemps.
Les très rares cas de redevances aberrantes qui faisaient les délices d’un Voltaire témoignent donc moins de l’existence du droit de cuissage que du succès rencontré par le mythe auprès des seigneurs eux-mêmes. « Il faut imaginer la rédaction des aveux et dénombrements dans un mélange d’ambition féroce, de paillardise et de vantardise, de menteries ou « gabs », dans un milieu de hobereaux à la fois proches de la culture paysanne et soucieux de s’en démarquer. La série P300 des Archives nationales, qui rassemble une énorme masse de ces documents, c’est un peu le Café des sports à dix-neuf heures : on discute gravement et, on se vante, on plaisante grassement en exaltant sa puissance sexuelle, on menace, avant de rentrer chez soi benoîtement et de reprendre, le lendemain, une activité paisible. » (Alain Bourreau)
Le mythe du droit de cuissage ecclésiastique, lui, peut n’être qu’une simple variante anticléricale du mythe antiseigneurial. Il peut aussi être l’expression du rejet, par une partie de la population, du contrôle étroit exercé par l’Eglise sur les mariages.
Certaines taxes perçues à l’occasion des noces sont effet considérées comme une intolérable intrusion des clercs dans l’intimité des couples, comme celle que percevait l’évêque d’Amiens au 14ème siècle pour bénir le lit des mariés. Cette taxation d’un rite est dénoncée comme une forme de simonie. On connaît par ailleurs le rôle de premier plan joué par le refus de la vente des indulgences dans la genèse du protestantisme.
Eric Georgin, Mythes et polémiques de l’histoire
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Tarbes. Coupable d'homicide involontaire sur un fœtus
Le tribunal de Tarbes vient de condamner un automobiliste pour homicide involontaire sur un fœtus de 30 semaines. Il avait fauché une femme enceinte le 20 janvier 2012.
Un fœtus de 30 semaines est-il un être humain ? Le tribunal de Tarbes vient de répondre oui, ce mardi 4 février, en condamnant un automobiliste pour homicide involontaire sur un bébé en gestation. Alors que la loi sur l’égalité hommes-femmes renforce l’accès à l’IVG en supprimant la notion de détresse et après le report de la loi sur la famille, ce jugement ne va pas manquer d’alimenter les débats sur un sujet de société sensible.
Le fœtus n'est pas considéré comme une personne
Il y a de fortes chances que le parquet général fasse appel du jugement qui va à l’encontre de la jurisprudence. En effet, le fœtus n’est pas, aujourd’hui, considéré comme une personne et ne bénéficie pas en conséquence d’un régime de protection pénale. On ne peut donc commettre d’homicide envers un fœtus ni aucune infraction. L’arrêt de la cour de cassation du 25 juin 2002 affirme clairement que «le principe de légalité des délits et des peines, qui impose une interprétation stricte de la loi pénale, s’oppose à ce que l’incrimination d’homicide involontaire s’applique au cas de l’enfant qui n’est pas né vivant».
Rappelons que l’avortement pour motif thérapeutique peut être pratiqué au-delà du délai des douze premières semaines et ce jusqu’au dernier moment de la gestation... Reconnaître un statut juridique au fœtus constituerait une remise en cause de l’avortement thérapeutique. «Dans ce jugement, il n’y a aucune prise de position religieuse ou philosophique mais une position humaine. Pour la maman, ce bébé était bien vivant. Si, pour une autre raison, elle avait dû accoucher prématurément, le bébé était viable. C’est le choc du fœtus contre la paroi utérine qui a provoqué son décès. Il s’agit d’un être humain qui a été tué», estime la présidente Élisabeth Gadoullet.
Il s'appelait Yanis Yanis, voilà le prénom que les parents avaient choisi pour leur premier enfant.
La présidente du tribunal met en avant le traumatisme psychologique des parents et surtout de la maman. «Quand elle a repris connaisance à l’hôpital, elle a demandé : «Et mon bébé ?». Ce qui l’a le plus choquée, c’est qu’on lui réponde : vous d’abord, le bébé après… Tant qu’un bébé n’est pas né, on a parfois l’impression qu’il n’est pas vivant. Mais, s’il y a mort, il y a eu une vie… Comment peut-on dire qu’un bébé réagit à l’environnement qui l’entoure et n’est pas un enfant ? Pour la maman, il était vivant. Elle a été privée de ce premier enfant et en a ressenti de la culpabilité. Il est important qu’il y ait une reconnaissance de cet enfant notamment pour que les parents assument leur rôle de parents en deuil».
Un fœtus de 30 semaines est-il un être humain ? Le tribunal de Tarbes vient de répondre oui, ce mardi 4 février, en condamnant un automobiliste pour homicide involontaire sur un bébé en gestation. Alors que la loi sur l’égalité hommes-femmes renforce l’accès à l’IVG en supprimant la notion de détresse et après le report de la loi sur la famille, ce jugement ne va pas manquer d’alimenter les débats sur un sujet de société sensible.
Le fœtus n'est pas considéré comme une personne
Il y a de fortes chances que le parquet général fasse appel du jugement qui va à l’encontre de la jurisprudence. En effet, le fœtus n’est pas, aujourd’hui, considéré comme une personne et ne bénéficie pas en conséquence d’un régime de protection pénale. On ne peut donc commettre d’homicide envers un fœtus ni aucune infraction. L’arrêt de la cour de cassation du 25 juin 2002 affirme clairement que «le principe de légalité des délits et des peines, qui impose une interprétation stricte de la loi pénale, s’oppose à ce que l’incrimination d’homicide involontaire s’applique au cas de l’enfant qui n’est pas né vivant».
Rappelons que l’avortement pour motif thérapeutique peut être pratiqué au-delà du délai des douze premières semaines et ce jusqu’au dernier moment de la gestation... Reconnaître un statut juridique au fœtus constituerait une remise en cause de l’avortement thérapeutique. «Dans ce jugement, il n’y a aucune prise de position religieuse ou philosophique mais une position humaine. Pour la maman, ce bébé était bien vivant. Si, pour une autre raison, elle avait dû accoucher prématurément, le bébé était viable. C’est le choc du fœtus contre la paroi utérine qui a provoqué son décès. Il s’agit d’un être humain qui a été tué», estime la présidente Élisabeth Gadoullet.
Il s'appelait Yanis Yanis, voilà le prénom que les parents avaient choisi pour leur premier enfant.
La présidente du tribunal met en avant le traumatisme psychologique des parents et surtout de la maman. «Quand elle a repris connaisance à l’hôpital, elle a demandé : «Et mon bébé ?». Ce qui l’a le plus choquée, c’est qu’on lui réponde : vous d’abord, le bébé après… Tant qu’un bébé n’est pas né, on a parfois l’impression qu’il n’est pas vivant. Mais, s’il y a mort, il y a eu une vie… Comment peut-on dire qu’un bébé réagit à l’environnement qui l’entoure et n’est pas un enfant ? Pour la maman, il était vivant. Elle a été privée de ce premier enfant et en a ressenti de la culpabilité. Il est important qu’il y ait une reconnaissance de cet enfant notamment pour que les parents assument leur rôle de parents en deuil».
Me Fabienne Trusses-Naprous, conseil des parents, explique que la maman «ne sera jamais guérie de la perte de son enfant». Le jugement participe à l’atténuation de la douleur de la famille. «Le prévenu lui-même a reconnu avoir tué un enfant. La famille a besoin de cette condamnation», motive la présidente Gadoullet.
Jugements contraires
Plusieurs affaires ont relancé le débat sur le statut pénal du fœtus. Lors d’un accident de la route en 1995, une femme enceinte avait perdu son enfant. La cour d’appel de Metz avait alors rejeté, en 1998, l’homicide involontaire, ce dernier ne pouvant «être qualifié qu’à l’égard d’un enfant dont le cœur battait à la naissance et qui a respiré». Dans une autre affaire, un véhicule avait heurté une femme enceinte de 8 mois. Ici aussi, le fœtus était décédé des suites de ses blessures. La Cour d’appel de Reims avait retenu, en 2000, l’homicide involontaire contre le conducteur. Pour elle, le fœtus, âgé de 8 mois, était viable, et donc soumis à la protection pénale.
Source
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La Catholique - Choeur Montjoie Saint-Denis
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Afin de détruire un peuple, il faut d'abord détruire ses racines
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