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La France a gaspillé 200 millions d’euros pour un second porte-avions dont il n’est même plus question…

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L’on pouvait émettre de sérieux doutes sur une possible coopération franco-britannique en matière de construction de porte-avions quand cette éventualité fut mise sur la table dans les années 2002-2003, puis confirmée en mars 2006 par la signature d’un mémorandum d’entente. Et cela pour une raison simple : les capacités de la Marine nationale et de la Royal Navy dans ce domaine sont radicalement différentes.

Ainsi, la marine française, tout comme son homologue américaine, ce qui facilite d’ailleurs l’interopérabilité comme l’a démontré la mission Bois-Belleau, a l’habitude des porte-avions dits CATOBAR (Catapult Assisted Take-Off But Arrested Recovery), c’est à dire de bâtiments dotés de catapultes et de brins d’arrêts nécessaires à la mise en oeuvres des aéronefs.

Pour la Royal Navy, c’est le système dit STOVL (Short Take-Off and Vertical Landing) qui est en vigueur. Certes, en 2010, il a été question pour la marine britannique d’adopter un dispositif CATOBAR pour ses deux porte-avions dont elle entend se doter. Mais finalement, elle a dû renoncer à cette idée, les transformations nécessaires étant trop coûteuses alors que le chantier du premier exemplaire avait déjà commencé.

Reste que l’idée de construire 3 porte-avions en commun avait un sens économique dans la mesure où cela aurait permis de réduire les coûts pour les budgets militaires de Paris et de Londres. Pour la France, il s’agissait d’acquérir un second navire de ce type afin de pouvoir maintenir une permanence aéronavale, notamment lors des arrêts pour maintenance du Charles de Gaulle.

Très longtemps avant la mise en chantier de ce dernier, la décision de doter la Marine nationale d’un second porte-avions à propulsion nucléaire avait été prise lors du conseil de Défense du 23 septembre 1980. On connaît la suite : les restrictions budgétaires ont d’abord impacté la construction de celui qui allait devenir le Charles de Gaulle.

Puis, de reports et en annulations de crédits, l’on est arrivé à la situation actuelle, c’est à dire avec une marine ne disposant que d’un seul porte-avions. S’il était question, encore, d’en construire un second jusqu’en 2007, l’édition 2008 du Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale (LBDSN) a renvoyé cette éventualité aux calendes grecques tandis que celle de 2013 n’en a même plus parlé.

Seulement, les discussions franco-britanniques concernant la construction de porte-avions n’auront pas été sans conséquences, financièrement parlant, et cela alors même que Londres n’a pas montré une claire volonté de coopération. Et c’est ce que vient de déplorer la Cour des comptes dans son rapport annuel. 

“Le montant total des dépenses effectivement payées au titre du programme de second porte-avions français s’établit à 287,5 M€ (constants 2013), dont 73 % au titre des deux années de coopération franco-britannique”, affirment les magistrats de la Rue Cambon.

“Au total, sur une période de deux années (2006 et 2007), la France a donc choisi, pour la construction de son deuxième porte-avions, de s’orienter vers l’achat d’études britanniques, alors même que l’analyse du contexte, ainsi que des positions exprimées publiquement et sans ambiguïté par le Royaume-Uni, laissaient clairement voir qu’elle ne pouvait ni s’appuyer sur un projet industriel conjoint, ni même, à défaut, voir ces études répondre techniquement à certains besoins français”, ajoutent-ils dans leur rapport annuel.

Et d’ajouter : “Au cours de ces deux années, les dépenses assumées par la France se sont élevées à environ 214 M€ (euros constants), dont 112 M€ versés au Royaume-Uni à titre de ‘ticket d’entrée’, et 102 M€ de contrats industriels liés à la coopération dont les résultats sont aujourd’hui inutilisables”. 

Plus de 200 millions de pertes… Certains diront que ce n’est pas grand chose… Quand même. En 2008, soit en plein dans la période décrite par la Cour des comptes, le général Bruno Cuche, alors chef d’état-major de l’armée de Terre (CEMAT), avait écrit au chef d’état-major des armées (CEMA), qui était à l’époque le général Georgelin, pour déplorer que la réalisation des programmes d’équipement des forces terrestres avait été minorée de 40% en 2006 par rapport au contrats de gestion initiaux, et que 46% des bésoins prévus pour 2007 n’avaient pas été couverts.

Les principaux programmes touchés avaient été ceux ayant une “faible visibilité politique” mais pourtant indispensables à la “cohérence organique” de la l’armée de Terre. Sans nul doute que ces 200 millions d’euros (soit de quoi acheter une cinquantaine de VBCI) jetés par les fenêtres auraient trouvés une meilleure utilisation…


Belle et rebelle

Rennes : soirée de guerilla urbaine antifasciste contre un meeting du Front National

Les Antigones à TVLibertés

Rennes. Les interpellés de samedi relâchés – La gauche condamne …le Front National

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La situation pourrait prêter à sourire s’il ne s’agissait pas de sécurité sur la voie publique et de liberté d’expression. Les 3 individus interpellés samedi soir, à l’occasion des émeutes en marge du meeting du Front National à la salle de la Cité, ont finalement été relâchés dès dimanche, le parquet « ne pouvant déterminer avec certitude qu’il s’agissait des personnes à l’origine de ces actes ».

Les centaines d’interpellés de façon arbitraire lors des récentes manifestations parisiennes (Manif pour Tous, Jour de Colère en tête) apprécieront la différence de traitement judiciaire , selon que l’on soit dans le camp des bien-pensants ou pas. 

Dans la ligne de cette décision surprenante du parquet, se retrouvent les déclarations des responsables politiques rennais qui suscite des interrogations. Le maire de Rennes Daniel Delaveau a ainsi jugé, après avoir timidement condamné les violences de samedi soir, que la responsabilité en incombait au Front National. C’est lui qui est coupable à ses yeux de « provocation » en venant tenir un meeting à la Salle de la Cité - salle pourtant attribuée par la mairie de Rennes.

Il rejoint ainsi les propos de Jean-Marie Goater. Cet ancien conseiller municipal rennais (membre d’EELV) est le patron du bar « Le papier timbré », situé dans le centre historique de Rennes. Il avait déclaré dès jeudi à Ouest-France craindre que la présence du FN à Rennes ne provoque incidents et débordements, la faute en incombant bien évidemment au parti de Marine Le Pen. Ce cafetier, qui accueille toute l’année des concerts et des membres de la mouvance « antifa » dans son bar, s’est même fendu d’un tweet pour réclamer l’imputation sur les comptes de campagne du candidat FN de la forte mobilisation policière de samedi.

Nathalie Appéré, candidate PS aux élections municipales et amie de Daniel Delaveau, a quant à elle condamné les violences. Le contraire, émanant d’une candidate à la mairie de Rennes, lui aurait sans aucun doute posé quelques problèmes, lesquels n’inquiètent désormais plus Daniel Delaveau, qui ne se représente pas.

Du côté de la droite et du centre rennais, si les violences sont condamnées ( « Le spectacle donné par les milices d’extrême-gauche à l’occasion de la réunion du FN à la salle de la Cité est injustifiable. » selon Bruno Chavanat , candidat UMP-UDI ), ces derniers s’en prennent au programme défendu par le FN – ce qui est de bonne guerre – ou, en ironisant, sur le peu de spectateurs présents samedi soir – ce qui l’est moins, les gens ayant été effrayés ou empêchés d’accéder au site.
Pour faire le point sur cette affaire et sur les réactions politiques qu’elle a suscitées, nous avons interrogé Gilles Penelle, responsable du FN en Ille et Vilaine.

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Martine fait des plans pour renverser le Gouvernement

Quitter une Europe occidentale sacrifiée sur l’autel d’une démocratie totalitaire mondialisée ou de l’américanisme

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Comme beaucoup de compatriotes, de ma génération, je ne me sens pas uniquement russe, mais également européen. En Russie, ce ne sont pas seulement ni tellement les valeurs du communisme qui se sont effondrées, mais bien plus les vraies valeurs de la civilisation d’Europe occidentale. Pour moi, je ne vois qu’une seule possibilité de les défendre : quitter une Europe occidentale sacrifiée sur l’autel d’une démocratie totalitaire mondialisée ou de l’américanisme. 

Alexandre Zinoviev

Max Boublil - Chanson Raciste


EXCLUSIF. Le rapport des RG qui dit la vérité sur les événements de Rennes

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Les forces de l'ordre ont été contraintes de charger pour contenir la violence des manifestants de gauche, samedi 8 février à Rennes. Photo © MaxPPP


Rédigé par les ex-RG, la SDIG (Sous-direction de l’information générale) de Rennes, le rapport confidentiel que Valeurs actuelles a pu consulter met en lumière les informations que le ministère de l’intérieur et certains médias ont voulu cacher.

Les faits

Samedi dernier à Rennes entre 600 et 700 militants de gauche ont saccagé tout un quartier de la ville en protestation contre la tenue d’un meeting du Rassemblement Bleu Marine.

Le rapport de police commence : « le 8 février 2014 en fin d’après-midi, la DDSP 35 (Direction Départementale de la Sécurité Publique, NDLR) mettait en place un dispositif renforcé de sécurisation en raison du risque d’une action de militants d’extrême gauche. Et ledit dispositif est impressionnant, à la hauteur de la gravité des événements : « le service d’ordre engageait 2 compagnies de CRS, 1 escadron de gendarmerie, soit plus de 250 policiers et gendarmes ».

Les militants de gauche attaquent un poste de Police et tentent d’y mettre le feu

Le rapport se poursuit ainsi : « vers 18h30, 400 personnes d’extrême-gauche se rassemblaient (…) pour dénoncer la tenue de cet événement du « Rassemblement bleu marine » (…) à 19h50, (…) ils cassaient des vitrines (5 commerces et 4 établissements bancaires) et poursuivaient leurs exactions (…) où ils tentaient d’incendier un bureau de police en brisant plusieurs vitres et en y jetant un fumigène qui mettait le feu à un fauteuil (…) ». Le document rapporte ensuite qu’« un véhicule était incendié».

La riposte des forces de l’ordre

La réponse policière est décrite à l’image de la situation d’urgence : « au cours des heurts, les forces de l’ordre faisaient usage d’un canon à eau, de grenades lacrymogènes et du flash-ball (…) pour repousser les assaillants. Quatre policiers et un gendarme étaient blessés par des jets de projectile. Au plus fort des événements, 630 manifestants étaient réunis ».

La réponse judiciaire : les casseurs sont relâchés

Selon les informations contenues dans le rapport, trois individus ont été interpellés. Le premier, âgé de 20 ans a été placé en garde-à-vue. Le second, 24 ans, a fait l’objet d’une « audition libre ». Le dernier, 22 ans a été relâché. Toutes les personnes interpellées ont été laissées libres « sans aucune suite judiciaire », précise le rapport de Police.

Dans sa communication à la presse, le préfet de Bretagne, Patrick Strzoda, l’un des meilleurs de France, passe étrangement sous silence les policiers blessés: « lors de ces heurts il n’y a pas eu de blessé mais quatre manifestants ont été interpellés ». Manuel Valls a-t-il veillé à faire « oublier » les policiers blessés ? La question peut être posée après lecture de la dépêche AFP, qui a été envoyée dans la soirée en « oubliant », elle aussi, de faire état des victimes policières. Seul un journaliste de Ouest France, qui lui, était présent sur place et a filmé la soirée, en fait mention. Son article, pourtant très précis, n’a curieusement pas été repris. Dans la soirée, les journaux nationaux ont tous cité en boucle la dépêche de l’AFP, arrangeant bien les comptes de Manuel Valls. Les manifestants pacifiques de la Manif Pour Tous, qui n’avaient pourtant causé ni dégât ni violence l’an dernier, n’ont pas eu le droit au même régime de faveur.

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Limitation de vitesse, feu de cheminée, normes: «Arrêtez d'emmerder les Français!»

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Alors que la limitation de vitesse pourrait passer à 80 km/h sur les routes, l'écrivain fait le bilan des normes qui existent en France et sur la planète. Bienvenue dans le Meilleur des mondes.

Le vieux fauteuil de cuir craquelé, le dernier polar dans une main, le fond de verre d'armagnac ou de cognac dans l'autre, les pieds allongés devant le feu qui danse joyeusement dansla cheminée et dans son panier le toutou fidéle qui fait de beaux réves tandis que dehors, le vent siffle et le froid géle à pierre fendre… 
D'un coup, les bons clichés de nos petits bonheurs «à la française» viennent de s'envoler.

Un arrété préfectoral bouillotte sur le poêle qui devrait interdire dès 2015 en Ile de France l'ancestral feu de cheminée qui a traversé les siécles, les régimes et même les révolutions. Pour notre bien, pour notre bien, braves gens! Ecolo, le feu de bois? C'est ce qu'on croyait naîvement mais nenni, chers petits lapins! Les grands humanistes qui surveillent jour et nuit l'air que nous avons le culot de respirer ont découvert que les cheminées à foyer ouvert balanceraient autant de particules fines dans l'atmosphére que le pot d'échappement des engins assassins à quatre roues qui défient dans les rues nos vélos libres, conviviaux et républicains .

C'est également en pleine conscience citoyenne qu'afin de respecter les besoins physiologiques des footballeurs, les communes vont devoir modifier la superficie des vestiaires, au prix de coûteux travaux ,dés qu'un club changera de division; ou que désormais l'immatriculation des Mercedes de classes A, B et C est interdite en raison de la novicité de leurs gazs de refroidissement qui causent de graves dommages aux poumons de nationalité française mais, pour des raisons encore inexpliquées, aucun systéme respiratoire d'oigine étrangére.

Réjouissons nous également que nos pouvoirs publics se soient enfin émus du danger que fait courir aux adeptes des arts martiaux le capitonnage insuffisant sur les murs des salles où ils pratiquent leurs sport.Les Français ayant pris un certain nombre de centimétres au fil des ans, il devenait urgent d'imposer les mesures appropriées.Le coût du relevement du capitonnage pour les collectivités est évalué à la somme, fort modeste, de 5 millions d'euros, soit le coût d'un rond- point et demi.
Autre mesure qui s'imposait pour la santé de nos enfants: dans les cantines scolaires, le poids obligatoire de la saucisse est de 50 grammes et pour les oeufs durs, la portion est d'un quart d'oeuf pour les enfants de plus de 18 mois en créche, un demi oeuf pour la maternelle, un oeuf entier pour les classes élémentaires et de 1 à 1,5 oeuf au collège. Les plateaux-repas et petits fours non consommés qui jusqu'içi étaient redistribués à des associations charitables devront être soit jetés , soit arrosés de détergents afin de les rendre impropres à la consommation.

Applaudissons enfin les recommandations qui nous sont faites de consommer du vin sans alcool, l'interdiction imposée aux coqs de chanter avant le lever du soleil dans des communes phares telles qu'Oléron Sainte Marie et Lalleu en Ille et ViIlaine ou le projet déjà bien avancé de bannir sur tout le territoire la pratique du barbecue dominical, qui représente un véritable danger pour notre vivre-ensemble.
Au dernier pointage, le Journal Officiel recensait 400.000 normes diverses sur lesquelles pése une grave menace. En effet, à la demande du président Hollande, le gouvernement s'interrogerait sur la nécessité d'en réduire le nombre . Une aberration totale à laquelle, heureusement, nous devrions echapper, connaissant la sagesse des princes qui nous gouvernent.

Pas touche à notre modéle français, s'il vous plaît!
Nous sommes fiers et heureux d'être 65 millions à vivre dans une nurserie de zouzous qui jouent avec des éoliennes, sont nourris au biberon du sirop, équitable, de la chaîne citoyenne, de l'écoute à l'Autre, de la diversité, et de l'espace partagé. On y rééchante le monde, on y broie rien que du vert, on fait son lit sur un nuage et on se dit bonne nuit en s'échangeant des tas de bisous.

Nous sommes fiers et heureux de vivre dans une société solidaire et humaniste qui prend soin de notre santé en nous obligeant à mourir d'autre chose que du tabac, à bouffer cinq fruits et légumes par jour version bio, à siffler notre coup de tutu «avec modération», à devenir centenaire, à ne plus fonder de famille mais à «faire famille» , et à permettre à nos enfants de ne plus se sentir discriminés à l'école où les notes «encourageantes» devront remplacer les notes «vraies», c'est à dire les 2/20 et les zéros pointés infligés aux cancres .
Oui, nous sommes fiers et heureux qu'on nous mette dès le berceau un anneau dans le nez et que nous puissions fêter à longueur d'année, les méres, les pères, les grands -méres, les grands-pères, le vélo, la musique, les pompiers, les gardiens de prison, les évadés des centrales, le cinéma, les chevaux de trait, les ânes du Poitou, les trans et les bi, les autobus, les châteaux branlants, les premières dames, les esclaves morts il y a trois siècles, la guillotine et le gaz à tous les étages. En attendant la fête de la banqueroute et celle d'Alzheimer.

Aprés le devoir de mémoire, il ne nous reste plus qu'à être promus au bonheur à perpétuité. Certains disent, sous le manteau, que dans l'Histoire, tous ceux qui ont promis le bonheur sont ceux qui ont le plus massacré leurs semblables. Sûrement des ragots.
En revanche, nous devrions être plus exigeants. Nos gouvernants n'en font pas assez. En fouinant de ci de là, j'ai découvert que dans bien des domaines, nous avions beaucoup à apprendre de l'étranger, en matière de protection sociale et de joie de vivre.

Par exemple pourquoi ne pas faire comme dans cette ville du Colorado où il est interdit d'embrasser les femme qui dorment ; en Floride, de chanter en maillot de bain ; dans le Nevada, d'obliger les épouses à demander à leur mari l'autorisation de porter un râtelier; en Alaska, de punir ceux qui donneraient à boire de l'alcool à des souris; à Chicago, de pêcher à la ligne en pyjama ; à Eureka ,dans le Nevada, de coller une forte amende à tout moustachu qui embrasserait une dame sur la bouche; ou bien encore à Portland, de trainer devant les tribunaux les hommes qui chatouillent leur femme avec un plumeau.
Je signale aux chercheurs que des exemples comme ceux là, j'en ai des dizaines qui ont cours dans le monde entier. Savez -vous, par exemple, qu'en Grande Bretagne, les femmes n'ont pas le droit de manger du chocolat dans les transports publics?

Rien n'arrêtant le progrès , le genre humain appratient aujourd'hui à une espéce protégée, tout comme le moustique de Camargue ou le requin-marteau. Dans sa sagesse, le législateur a toutefois prévu des exceptions. Il est par exemple permis aux hommes de se massacrer entre eux quand ça leur chante.

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Belle et rebelle

Le Rafale, le roi du ciel

Dikkenek - identité sexuelle

L’évangile selon Saint Charles

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Le système Charlie pour durer en politique se résume à ce vade-mecum livré par un de ses ex-collaborateurs. Six commandements qu’il rebâche et auxquels il est difficile d’appliquer l’expression « en vertu des grands principes » : le mot vertu serait quelque peu incongru. 
Article 1 : « Les promesses n’engagent que ceux qui les croient. » 
Article 2 : « Mon pire ennemi peut être demain mon meilleur ami. » (Et vice versa ?) 
Article 3 : « En politique, il faut toujours se faire payer comptant, et payer soi-même à terme. » 
Article 4 : « Ce ne sont pas les premiers GI débarqués en Normandie qui ont les premiers baisé les Parisiennes. » Moralité : il faut savoir prendre les bons trains en marche. 
Article 5 : « Espion pris, espion lâché. » 
Article 6 : « La démocratie s’arrête là où commence l’intérêt de l’Etat. »

Les dossiers du canard, n° 61, Môssieu Pasqua, sa vie, son œuvre et ses ambitions

13 février 1945 : début du bombardement de Dresde (Allemagne)

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Dans la nuit du 13 au 14, 1300 bombardiers britanniques et américains commencent à larguer près de 4000 tonnes de bombes incendiaires. Le 15, à l’issue de l’opération, la ville est rasée et 25 à 35 000 personnes tuées. Avec les bombardements américains sur le Japon, celui de Dresde est le plus meurtrier.

Malabestia - Dresda

Lisses : « Fille ou bien garçon », la chanson fait polémique à l'école

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ZUT Fille ou garconpar aladin82


En pleine polémique sur la théorie du genre, une instit a dû justifier son choix de faire chanter «Fille ou bien garçon» à ses élèves.

« Y a pas d'zizi à mes outils», la ritournelle du groupe français Zut « Fille ou bien garçon », enseignée à une classe de CE 2-CM 1 de l'école Jean-Baptiste-Corot, à Lisses (Essonne) crée la polémique. En pleine polémique sur la «théorie du genre», elle a généré un mouvement de colère de certains parents. La maîtresse a aussitôt tenté de calmer les esprits en écrivant une lettre à l'ensemble des parents.

Source

Shark Island - My City

Nature et rupture

La tige a feu - Firesteel

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