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Jacques Dutronc / Les Playboys
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Amour Asie Révolution #ONG
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Peter Handke « Les médias, c’est le IVe Reich ! »
Il n’est pas exagéré de dire que les médias forment aujourd’hui une sorte de IVe Reich. Surtout le langage des médias – un langage presque impénétrable, auquel vous ne pouvez pas échapper et qui est tout à fait despotique. Bien sûr, chacun peut vivre à l’écart. Il ne s’agit pas de sur-dramatiser – mais peut-être cela influence-t-il bel et bien l’existence des individus, voire les emprisonne. Et, contrairement au précédent Reich, qui n’a duré que douze ans, on n’en voit pas la fin. Ce langage du IVe Reich survivra plus que douze années. Il durera jusqu’à la fin du monde, malheureusement, et son martèlement deviendra de plus en plus imperceptible.
Eléments n°86, octobre 1996
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Français, défends-toi !
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Belle et rebelle
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Dédiaboliser le FN !
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GB: prison à vie pour l'assassinat d'un militaire
Un Britannique de 29 ans converti à l'islam, Michael Adebolajo, a été condamné aujourd'hui à la prison à vie pour l'assassinat à l'arme blanche d'un militaire, Lee Rigby, le 22 mai dernier en plein jour dans une rue de Londres. Son coaccusé, Michael Adebowale, 22 ans, a été condamné à au moins 45 années de réclusion par le tribunal londonien d'Old Bailey. Les deux hommes, qui avaient été reconnus coupables en décembre dernier, ont été expulsés de la salle d'audience avant l'énoncé du verdict, à la suite d'une échauffourée avec leurs gardiens.
Leur victime, âgée de 25 ans, était un ancien combattant de la guerre d'Afghanistan. Dans une vidéo tournée juste après le meurtre, Adebolajo avait déclaré, les mains couvertes de sang, qu'il combattait pour Allah, en réponse aux interventions militaires occidentales en Afghanistan et en Irak. Les deux meurtriers ont dit aux enquêteurs qu'ils avaient sillonné en voiture le quartier de Woolwich à la recherche d'un soldat, puis avoir renversé Lee Rigby avant de s'acharner sur lui, inconscient, avec des couteaux et un couperet de boucherie, en essayant de le décapiter.
Le meurtre de Woolwich était la première attaque islamiste à Londres depuis les attentats de juillet 2005, qui avaient fait 52 morts. Les services de renseignement du MI5 sont visés par une enquête qui doit déterminer s'ils n'auraient pas pu empêcher le drame. Michael Adebolajo et Michael Adebowale, issus de familles chrétiennes nigérianes, avaient été repérés par le MI5 en train de distribuer des tracts extrémistes dans des quartiers voisins de Woolwich ou de participer à des rassemblements d'Al Muhajiroun, organisation interdite dont la plupart des membres ont été condamnés pour des faits de terrorisme. Mais ils n'étaient pas considérés comme des menaces sérieuses.
Source
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Au revoir Act Up !
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Rébellion : Sciences. La boîte de Pandore ?
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0% hipster
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En Italie, la femme de ménage d'un musée jette une installation d'art à la poubelle en pensant faire son travail
C'est une histoire qui fera rire tous ceux qui pensent que l'art contemporain est souvent une supercherie.
En Italie, une femme de ménage en poste dans un musée de Bari, Anna Macchi, a confondu deux installations, en papier journal et en carton, présentées dans le cadre d'un festival d'art contemporain (Display Mediating Landscape), avec des déchets. Les installations ont fini à la poubelle.
«Je ne me suis rendue compte de rien», explique-t-elle, loquace, à La Repubblica.
«Je suis allée ouvrir la salle, j’ai vu tout ce foutoir par terre, les cartons, les bouteilles de verre au-dessus ses cartons, un vrai bordel. Alors j’ai pris les cartons, les bouteilles, j’ai tout mis dehors».
Et puis elle est allée jeter le tout. «Comment j'aurais pu savoir? Est-ce que je culpabilise? Non, j'ai simplement fait mon travail. Mais est-ce que je suis triste? Triste oui.»
L'adjoint à la communication de la ville explique: «Nous sommes évidemment fort mécontents de cet incident. Il est clair que la femme de ménage de la salle ne s'est pas rendue compte qu'elle venait de jeter deux oeuvres. Mais c'est là tout le mérite des artistes qui ont su interpréter au mieux le sens même de l'art contemporain, qui est d'interagir avec ce qui l'entoure.»
Même perception de la part du critique d'art italien Achille Bonito Oliva qui estime qu'il s'agit là «de situations d'ambiguité saine». Il rappelle que l'art contemporain se sert d'objets déjà existants, extraits de la vie quotidienne et banale. Une installation n'est pas un tableau délimité par un cadre, elle déborde. «Il est donc facile que le regard trébuche et méprenne une oeuvre d'art. Cela est arrivé notamment en 1978 à la Biennale de Venise, quand un peintre en bâtiment avait repeint ce qu'il pensait être une simple porte. C'était un chef d'oeuvre de Marcel Duchamp.»
D'autres installations, assurément moins célèbres que celle de Duchamp, (dont la déterioriation avait valu à la Biennale de devoir rembourser à la galerie le prix de l'oeuvre...) ont aussi fait l’objet d’une méprise. En 2011, une femme de ménage, à Dortmund en Allemagne, avait confondu une installation de l'artiste allemand Martin Kippenberger avec une baignoire sale et avait retiré la patine de la baignoire en caoutchouc placée sous des planches en bois empilées.
En Allemagne encore, en 1986, une «motte de beurre suintante» comme la décrit Le Figaro, de l'artiste allemand Joseph Beuys, dans un musée de Düsseldorf avait aussi été «nettoyée».
En Italie, une femme de ménage en poste dans un musée de Bari, Anna Macchi, a confondu deux installations, en papier journal et en carton, présentées dans le cadre d'un festival d'art contemporain (Display Mediating Landscape), avec des déchets. Les installations ont fini à la poubelle.
«Je ne me suis rendue compte de rien», explique-t-elle, loquace, à La Repubblica.
«Je suis allée ouvrir la salle, j’ai vu tout ce foutoir par terre, les cartons, les bouteilles de verre au-dessus ses cartons, un vrai bordel. Alors j’ai pris les cartons, les bouteilles, j’ai tout mis dehors».
Et puis elle est allée jeter le tout. «Comment j'aurais pu savoir? Est-ce que je culpabilise? Non, j'ai simplement fait mon travail. Mais est-ce que je suis triste? Triste oui.»
L'adjoint à la communication de la ville explique: «Nous sommes évidemment fort mécontents de cet incident. Il est clair que la femme de ménage de la salle ne s'est pas rendue compte qu'elle venait de jeter deux oeuvres. Mais c'est là tout le mérite des artistes qui ont su interpréter au mieux le sens même de l'art contemporain, qui est d'interagir avec ce qui l'entoure.»
Même perception de la part du critique d'art italien Achille Bonito Oliva qui estime qu'il s'agit là «de situations d'ambiguité saine». Il rappelle que l'art contemporain se sert d'objets déjà existants, extraits de la vie quotidienne et banale. Une installation n'est pas un tableau délimité par un cadre, elle déborde. «Il est donc facile que le regard trébuche et méprenne une oeuvre d'art. Cela est arrivé notamment en 1978 à la Biennale de Venise, quand un peintre en bâtiment avait repeint ce qu'il pensait être une simple porte. C'était un chef d'oeuvre de Marcel Duchamp.»
D'autres installations, assurément moins célèbres que celle de Duchamp, (dont la déterioriation avait valu à la Biennale de devoir rembourser à la galerie le prix de l'oeuvre...) ont aussi fait l’objet d’une méprise. En 2011, une femme de ménage, à Dortmund en Allemagne, avait confondu une installation de l'artiste allemand Martin Kippenberger avec une baignoire sale et avait retiré la patine de la baignoire en caoutchouc placée sous des planches en bois empilées.
En Allemagne encore, en 1986, une «motte de beurre suintante» comme la décrit Le Figaro, de l'artiste allemand Joseph Beuys, dans un musée de Düsseldorf avait aussi été «nettoyée».
Source
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LA SOURIS DEGLINGUEE Fukushima
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Les laboratoires humains français dans le cadre de la société orwéllienne
Les quartiers populaires servent de véritables laboratoires humains pour l’innovation technologique dans le domaine de la coercition. Quelques semaines à peine après la fin des révoltes de l’automne 2005, la Délégation aux affaires stratégiques (DAS), qui dépend du ministère de la Défense, lançait un appel d’offres pour le compte de l’état-major des armées. Il s’agissait de déterminer de « quelle capacité doivent disposer les armées pour pouvoir mener des missions sur le territoire national » dans le cadre du développement du« problème du terrorisme », derrière lequel il y aurait « également le problème des violences urbaines en banlieue. »
A la demande de la Direction générale de l’armement (DGA), ont été réalisées en 2008 et 2009 des études privées pour concevoir de nouveaux moyens de « maîtrise des foules non coopératives et des mouvements massifs de type émeute », à destination de la police, de l’armée et de la gendarmerie. Il s’agissait d’évaluer les « contraintes d’emploi » des nouvelles armes sophistiquées « non létales » susceptibles d’être employées à la fois en guerre ou dans des opérations de maintien de l’ordre.
Ce sont des rapports qui ont impulsé le développement de la troisième génération de lanceurs de balles non perforantes. Ils préconisaient l’utilisation d’un « tube lance-munitions de 40 mm », « muni d’un télémètre pour régler l’angle et la puissance de tir en fonction des conditions d’environnement et de la distance à la cible » et permettant la « gradation de la riposte par un choix de munition adaptée, une capacité à traiter différentes catégories de cibles (individuelle ou collective) et une place d’efficacité plus grande ». Ces rapports présentaient aussi les avantages de nouvelles munitions adaptées à ces lanceurs polyvalents : « produits incommodants (malodorants, irritants, suffocants), assourdissants et/ou éblouissants, suffocants), glissants ou collants et soporifiques/calmants (tranquilisants/sédatifs) » et nouvelles munitions « cinétiques de type Bliniz ».
Ces rapports commandés par la DGA ont l’intérêt de montrer comment des perspectives de profit économique déterminent l’émergence de nouvelles armes et donc l’évolution des formes de coercition. Ces documents envisagent toute une série de nouvelles marchandises : « des lasers éblouissants, des torches lumineuses embarquables sur un véhicule », produisant un « effet incapacitant éblouissant temporairement un individu » avec le risque « de séquelles visuelles sur les individus illuminés, [ceux qui portent] des lunettes par exemple, par focalisation du faisceau laser ou [parce qu’ils seront] trop proches de la source ». Une « source de lumière vive émise par une lampe stroboscopique à basse fréquence et à haute intensité » provoque le même effet mais aussi « des séquelles visuelles sur les individus [et] des pertes d’équilibre ».
Maintenir une stratégie de la tension à l’intérieur du territoire permet d’engendrer des marchés en termes de matériels policier, militaire et hybrides (pouvant servir graduellement pour la répression et la guerre) : « Un casque, une visière et une protection du cou (aux produits chimiques ou aux liquides enflammés) ; des coques de protection du tronc (du thorax, du dos, de l’abdomen et du bas-ventre) ; des coques de protection des bras et des jambes (protège-tibias et cuisses), des moyens de protection des mains et des pieds », un bouclier de protection qui doit permettre de faire face à une foule « différente » : « La population nationale dans le premier cas, avec un comportement et des réactions priori connues ; une population étrangère, culturellement différente et susceptible de réagir de façon non prévisible pour les personnels de la force. »
Mathieu Rigouste, La domination policière
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Forbidden Site - La Chouanne
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Les élites technocratiques européennes complètement déconnectées du peuple
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Et le mouvement de cette chute, sa vitesse, son côté vertigineux, a été appelé "progrès"
Il est inutile de se faire des illusions avec les chimères d'un quelconque optimisme : nous nous trouvons aujourd'hui à la fin d'un cycle. Depuis des siècles déjà, tout d'abord de façon insensible, puis avec le mouvement d'une avalanche, de multiples processus ont détruit, en Occident, tout ordre normal et légitime des hommes, ont faussé les conceptions les plus hautes de la vie, de l'action, de la connaissance et du combat. Et le mouvement de cette chute, sa vitesse, son côté vertigineux, a été appelé "progrès". Et des hymnes au "progrès" furent entonnés, et l'on eut l'illusion que cette civilisation - civilisation de matière et de machines - était la civilisation par excellence, celle à laquelle toute l'histoire du monde était pré-ordonnée : jusqu'à ce que les conséquences ultimes de tout ce processus fussent telles qu'elles provoquèrent, chez certains, un réveil.
Julius Evola
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Le hockey, un sport d'hommes aimé par les femmes
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Je ne sais pas qui a raison et qui a tort...
"Je ne sais pas qui a raison et qui a tort, qui est l’adversaire et qui deviendra l’ennemi, quels sont les intérêts des uns et les projets des autres, qui finira par remporter la mise et qui sera le plus habile et le plus machiavélique dans le grand jeu géopolitique, sur quels désastres ou sur quels crimes déboucheront ces journées de tumulte…
Mais ce que je sais c’est que ce gamin au visage barbouillé de suie, juché sur une barricade un cocktail molotov à la main, il n’a pas reçu de chèque de la CIA, il n’aspire pas à un téléviseur géant à écran plat ou à des vacances au Club Med de Saint-Domingue… Il est là pour une idée, pour un espoir, pour un souffle, pour un rêve… Il est là parce qu’il n’est pas un bourgeois frileux, un fin calculateur, un épicier prudent et roué ou un génie de la prospective de salon… Il n’a pas de plan de carrière ni d’épargne… Les mots de nation, de patrie, de devoir et de sacrifice ne sont pas pour lui des slogans surannés et un peu ridicules mais des réalités charnelles qui l’exposent aux coups, à la prison et aux tirs de kalachnikov… En bref, il est là parce qu’il est vivant, brûlant de jeunesse et d’envie de combattre, et, par là, il s’élève très au dessus des peuples aux trois quarts morts sous le poids de leur confort et de leur intellectualisme repus et rigolard… Vainqueur ou vaincu, trahi ou manipulé, il est un héros, une figure sacrée, une preuve vibrante et flamboyante que rien n’est fini, que rien n’est perdu, que tout est ouvert, tout est possible…
Et ce gamin, tout comme ses frères, je ne peux que l’admirer et l’honorer. Au-delà de toutes autres considérations. Parce qu’il est de sang et de sève quand tant d’autres ne sont plus que d’encre et de papier. Parce qu’il est debout quand tant d’autres sont couchés. Parce qu’il est courageux et fou quand tant d’autres sont lâches et raisonnables.
Peut-être – sans doute- est-ce là du romantisme. Mais ce romantisme là, au contraire de tous ses ersatz mièvres et sirupeux, je l’admets et l’assume, je le hurle même de toute mon âme et à pleins poumons car il est le sel de la vie, le ferment de l’espérance.
Honneur aux enfants de Kiev comme à ceux de Prague, Budapest et Tian’anmen !”
Mais ce que je sais c’est que ce gamin au visage barbouillé de suie, juché sur une barricade un cocktail molotov à la main, il n’a pas reçu de chèque de la CIA, il n’aspire pas à un téléviseur géant à écran plat ou à des vacances au Club Med de Saint-Domingue… Il est là pour une idée, pour un espoir, pour un souffle, pour un rêve… Il est là parce qu’il n’est pas un bourgeois frileux, un fin calculateur, un épicier prudent et roué ou un génie de la prospective de salon… Il n’a pas de plan de carrière ni d’épargne… Les mots de nation, de patrie, de devoir et de sacrifice ne sont pas pour lui des slogans surannés et un peu ridicules mais des réalités charnelles qui l’exposent aux coups, à la prison et aux tirs de kalachnikov… En bref, il est là parce qu’il est vivant, brûlant de jeunesse et d’envie de combattre, et, par là, il s’élève très au dessus des peuples aux trois quarts morts sous le poids de leur confort et de leur intellectualisme repus et rigolard… Vainqueur ou vaincu, trahi ou manipulé, il est un héros, une figure sacrée, une preuve vibrante et flamboyante que rien n’est fini, que rien n’est perdu, que tout est ouvert, tout est possible…
Et ce gamin, tout comme ses frères, je ne peux que l’admirer et l’honorer. Au-delà de toutes autres considérations. Parce qu’il est de sang et de sève quand tant d’autres ne sont plus que d’encre et de papier. Parce qu’il est debout quand tant d’autres sont couchés. Parce qu’il est courageux et fou quand tant d’autres sont lâches et raisonnables.
Peut-être – sans doute- est-ce là du romantisme. Mais ce romantisme là, au contraire de tous ses ersatz mièvres et sirupeux, je l’admets et l’assume, je le hurle même de toute mon âme et à pleins poumons car il est le sel de la vie, le ferment de l’espérance.
Honneur aux enfants de Kiev comme à ceux de Prague, Budapest et Tian’anmen !”
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Belle et rebelle
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Arkan feat Niko Belic - Balkan Gangster
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