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СОКИРА ПЕРУНА - УКРАЇНО, ТИ НАЛЕЖИШ МЕНІ


Belle et rebelle

Tu casse les burnes Valls !

A Bittersweet Life

Article 104 du traité de Maastricht, article 123 du traité de Lisbonne

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De la haute trahison des élites françaises ou le plus grand scandale de l’histoire
Confiscation du droit régalien de battre monnaie au seul profit des banques privées.
Privatisation de la création monétaire.
Obligation faite au contribuable français de verser directement un quart des recettes fiscales annuelles à des banques privées. 
Véritable cause de la dette publique des Etats d’Europe. 
Asservissement ultime des gouvernements au capital mondialisé, désormais seul bailleur de fonds possible de leur déficit. 
Précisons que ce viol fiscal, qui accroît la pauvreté du peuple de France, fut consacré en droit européen grâce à François Mitterrand (traité de Maastricht) et à François Hollande (refus de s’opposer au traité de Lisbonne lors du congrès de Versailles de février 2008).

Adrien Abauzit, Né en 1984

Dextra Versailles recevra Jean-Yves Le Gallou le jeudi 10 avril

« Durcir la cuirasse pour économiser le glaive »

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C’est finalement par une note de service du 5 septembre 1991, signée par Bernard Grasset, directeur général de la police nationale, que le fonctionnement de la BAC est fixé précisément et que toute autre appellation est proscrite. Le DGPN encourage l’utilisation de ces « formations ayant pour vocation de lutter essentiellement contre la petite et moyenne délinquance, notamment par la recherche du flagrant délit »
     Le 10 juillet 1993, après les députés, les sénateurs approuvent une réforme du code pénal défendue par Charles Pasqua sur le durcissement des contrôles d’identité : « L’identité de toute personne, quel que soit son comportement, peut être contrôlée pour prévenir une atteinte à l’ordre public, notamment une atteinte à la sécurité des personnes et des biens. »C’est une rupture importante qui va permettre de généraliser les polices de choc et d’intensifier le harcèlement social. 
     Ces nouvelles dispositions juridiques engendrent l’ouverture d’un gigantesque marché policier de l’interpellation qui met en œuvre une nouvelle forme de quadrillage du territoire par des unités commando déployées de manière semi-autonome dans les quartiers populaires. Selon le ministre de l’Intérieur, vieux praticien du quadrillage colonial, il faut désormais passer d’une « police d’ordre » à une « police de sécurité ». Quelques mois plus tard, Charles Pasqua tient à présenter lui-même la nouvelle BAC mise en place, à son initiative, dans la capitale par la préfecture de police de Paris. Cette « brigade de choc » est composée de 200 gardiens de la paix et de 65 gradés. Le 28 avril 1994, au cours d’une table ronde, il présente un plan sur la sécurité intérieure et annonce un programme industriel : « S’attacher [...] à poser les fondements d’une nouvelle organisation de la police nationale, lui apporter de nouvelles conditions de travail, lui donner les moyens en hommes, en matériel et en méthodologie, pour jeter les bases de la police du XXIe siècle. » 
     La généralisation des BAC sur le territoire urbain est l’une des trames décisives de la restructuration contre-insurrectionnelle de la police. 

Durant les années 1990, une nouvelle phase de développement du capitalisme néolibéral prend forme. Dans le champ de la production du contrôle, elle se caractérise par l’ouverture des marchés privés de la sécurité, c’est-à-dire la privatisation progressive de certains secteurs du contrôle, de la surveillance et de la répression jusque-là réservés à l’Etat et le développement de la sous-traitance et des partenariats public-privé. Ce processus détermine une restructuration néolibérale de l’appareil policier, notamment par la réduction des budgets de « ressources humaines » pour investir dans l’équipement, la recherche, le développement et les unités spécialisées, c’est-à-dire les secteurs qui profitent à l’industrie privée de la sécurité. Le 24 janvier 1995, au Palais des congrès de la porte Maillot, devant 1 500 commissaires de police, Charles Pasqua assure que « le gardiennage des immeubles, ou la vidéosurveillance permettront d’économiser nos effectifs pour les placer sur la voie publique, là où les honnêtes gens aiment les voir. Il faut durcir la cuirasse pour économiser le glaive. » 
     Cette logique d’Etat qui tend à intensifier le développement des unités spécialisées comme les Bac a été continuellement soutenue par la petite hiérarchie policière, celle qui dirige sur le terrain l’activité des unités répressives. En transformant les indisciplines populaires en interpellations comptabilisées, les BAC font du chiffre, font monter les statistiques de leur commissariat de rattachement et assurent ainsi la promotion de carrière des chefs locaux. La hiérarchie d’un commissariat a ainsi tout intérêt à susciter l’étiquetage d’une « zone criminogène » sur son secteur et la création d’une BAC. 
     Une loi d’orientation et de programmation relative à la sécurité est votée le 21 janvier 1995. Elle incite à la « territorialisation des problèmes », au renforcement du pouvoir des préfets et donne un cadre légal aux nouvelles technologies de surveillance. Elle pose la lutte contre « la violence urbaine » comme priorité de l’action policière et renforce les moyens autour des quartiers dits « sensibles », notamment l’emploi des brigades anticriminalité. Des BAC départementales sont ainsi organisées et déployées dans les départements de la petite et grande couronne parisienne. Ce déploiement de polices de choc œuvrant au quotidien dans les quartiers populaires de la périphérie parisienne inaugure la campagne d’expansion impériale de la mégalopole du Grand Paris
     Cette généralisation des BAC sur le territoire est liée de très près à l’essor de l’armement sublétal, l’histoire des BAC étant elle-même indissociable de celle des marchés de la coercition en particulier et de la sécurisation en général. Les unités spécialisées sont des formations qui revendiquent continuellement d’être dotées de matériels d’exception à la pointe des évolutions technologiques. Les BAC sont suréquipées par rapport aux autres unités de sûreté urbaine : en plus de l’équipement « traditionnel » – pare-balles lourds et légers, maglight, outils de perquisition (pince monseigneur, pied-de-biche), elles disposent d’un bureau, d’un ordinateur, d’une voiture banalisée puissante à leur usage unique, de flash-balls, de lanceurs Cougars, de Tasers, de gazeuses, de pistolets et de fusils à pompe. En 1995, la DCSP lance un plan national d’équipement : postes radios portables analogiques et discrets, gilets pare-balles, combinaisons de maintien de l’ordre et nouveaux moyens d’intervention sublétaux. Il existe aussi une conjonction d’intérêts entre l’industrie de la coercition et les unités commando. La multiplication des brigades spécialisées détermine conjointement la recherche et le développement de matériels réversibles et modulables. Réciproquement, ces unités sont en première ligne pour expérimenter les nouvelles armes, en exiger l’achat, susciter des diversifications de produits et consommer des munitions et de l’entretien. 

Mathieu Rigouste, La domination policière

Henri Guaino ne votera pas UMP aux élections européennes


Monot (FN) : «Valls se heurtera rapidement aux obstacles économiques»

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Conseiller économique de Marine Le Pen et tête de liste du Front national aux élections européennes (région Centre), Bernard Monot estime que le nouveau premier ministre est dans une impasse. 

LE FIGARO. - Vous estimez que le nouveau gouvernement de Manuel Valls se trouve dans une impasse économique. Pourquoi ? 
Bernard MONOT. - Le premier problème est celui de la compétitivité de la France, mais aussi celle de l'Europe. Aujourd'hui, le monde entier est en situation de dévaluation compétitive - que ce soit au niveau du dollar, du yen ou de la livre sterling - et seuls les pays de la zone euro ne peuvent pas agir sur le taux de leur monnaie. Tous les gains de compétitivité que nous pourrions imaginer via les sacrifices des Français (réductions de prestations et hausses d'impôts) permettront au mieux de gagner 4%, mais cela ne vaudra jamais une dévaluation interne de la monnaie, qui permettrait de gagner immédiatement 20% de gains de compétitivité. C'est cela qui pourrait entraîner une reprise économique et un retour à l'emploi. 

Vous vous interrogez également sur la possibilité pour ce gouvernement de désendetter la France. Pourquoi ? 
Comment vont-ils pouvoir désendetter le pays ? La dette ne cesse de croître depuis quarante ans. Quant aux déficits, cela fait trente ans que la France n'a pas de budget en excédent. Malgré tous les efforts, et même si l'on atteignait un déficit zéro, nous n'avons pas encore commencé à rembourser un seul euro du stock de dette. Je rappelle que nous allons atteindre 2000 milliards d'euros ! 

Que pensez-vous du pacte de responsabilité ? 
C'est la tenue de camouflage de l'austérité. Il faudra bien trouver les 50 milliards d'euros quelque part. En 2012, nous avions modélisé l'irrémédiable évolution de la dette publique et prévu sa croissance suivant cette politique ultra-libérale. 

Que répondez-vous à ceux qui observent pourtant des signes de reprise en Europe, comme en Espagne par exemple ? 
Peut-on appeler cela une reprise, dans ce pays, quand le système bancaire européen privé est au bord du gouffre ? On a oublié aussi l'ensemble des pertes non résorbées depuis la crise de 2008 et qui sont passées hors bilan. Si les banques ne se prêtent pas entre elles aujourd'hui, c'est bien qu'il existe un risque majeur de défaut. On met en place l'union bancaire de toute urgence parce qu'on sent que certaines banques risquent de basculer. 

Quels sont les principaux défis pour Manuel Valls ? 
D'abord l'emploi. Avec une inflation aussi basse, le chômage ne peut qu'exploser. C'est l'analyse faite par le FN en posant la problématique de l'euro. En taux réel, cette inflation n'a jamais été aussi basse depuis très longtemps. Actuellement, la zone euro est à 0,5% d'inflation. Nous ne sommes donc pas loin de passer en déflation, synonyme de catastrophes sociales. Le deuxième défi sera celui du pouvoir d'achat des Français qui va diminuer. Dans le prolongement, on peut imaginer les problèmes de sécurité apparaissant dans un pays qui s'appauvrit. 

Comment analysez-vous cette nomination à Matignon ? 
J'ai l'impression de voir un gouvernement de cohabitation entre un président social-démocrate et un Manuel Valls qui pourraient très bien faire partie du personnel de l'UMP. La politique macroéconomique de cette coalition UMPS sera la feuille de route d'une Union européenne inféodée aux marchés financiers. 

Selon vous, quelles actions prioritaires la France devrait-elle lancer sans attendre ? 
Ouvrir un sommet de la zone euro avec les dix-huit pays membres. Il faut mettre sur la table le problème de la monnaie surévaluée qui obère la croissance économique et provoque la désindustrialisation, à l'exception de l'Allemagne qui fait de la dévaluation compétitive territoriale. Ce sommet permettrait de passer aux monnaies nationales, dans la douceur et pas dans la douleur, tout en gardant un euro monnaie commune. Il faut absolument avoir la possibilité d'agir, au niveau national, sur la politique monétaire et sur la politique de change.

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The White Buffalo - Oh Darling, what have I done

Tracteur de combat

Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l'une ni l'autre, et finit par perdre les deux

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Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l'une ni l'autre, et finit par perdre les deux.

Benjamin Franklin

Chelsea Hooligans VS PSG hooligans

Belle et rebelle

Zombie walk Lille - Comment survivre à une attaque zombie


Soirée de tortures dans une galerie d'art parisienne

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Calvaire.Trois hommes ont été mis en examen après avoir séquestré, torturé et violé pendant près de cinq heures un marchand d'art. Le commanditaire a été écroué.

C'EST UNE SOIRÉE de cauchemar digne d'un film d'horreur. Un sombre différend portant sur l'exploitation d'un bar a poussé trois hommes à des actes particulièrement sordides. Interpellés les 19 mars et 26 mars, ils ont été mis en examen pour des faits de « séquestration », « actes de tortures et barbarie », « viols » et « vol »

Le principal commanditaire présumé des faits a été écroué, tandis que ses deux complices ont été placés sous contrôle judiciaire. Le drame remonte au 21 février, dans une galerie d'art située dans le IX e arrondissement à Paris.

Ce jour-là, vers 19 h 30, Daniel*, 73 ans, voit un homme se présenter devant l'entrée de sa galerie consacrée à la photographie. Le marchand d'art ne se doute de rien et le laisse entrer. Aussitôt, deux autres hommes surgissent. Le visage de l'un d'entre eux est loin d'être inconnu pour la victime : Emmanuel S., 45 ans, est en conflit depuis de nombreux mois avec le galeriste après la fermeture d'un bar, fréquenté par la communauté gay, situé dans le III e arrondissement.

L'établissement, propriété de Daniel mais géré par Emmanuel S., a été placé en liquidation judiciaire au mois de janvier 2013, avant de devoir fermer ses portes. « Depuis, ce gérant tenait le galeriste pour responsable de sa ruine, confie un proche de l'affaire. Il semblait avoir décidé de lui extorquer par tous les moyens une importante somme d'argent. »

Frappé à plusieurs reprises par ses trois agresseurs, Daniel est ensuite immobilisé avant de se voir injecter un produit inconnu dans la cuisse. « Ses ravisseurs l'ont terrorisé en lui affirmant qu'ils étaient en train de lui inoculer le virus du sida, poursuit la même source. Ils lui ont fait d'autres injections dans les parties intimes. »

Daniel est ensuite brûlé, à plusieurs reprises, avec une cigarette. Toujours aussi déterminés, ses agresseurs lui plantent l'aiguille de leur seringue sous les ongles avant de lui faire subir plusieurs viols

Le calvaire de Daniel dure ainsi près de cinq heures. Pour finir de l'humilier, les auteurs poussent le sadisme jusqu'à filmer et photographier les sévices infligés à leur victime. « Ils ont notamment pris une photo du galeriste avec une tête d'animal mort posée sur son corps, révèle un proche de l'affaire. Ils n'ont eu aucune pitié pour lui. » 

Emmanuel S. et ses comparses, Ludovic J. et Maxime D., finissent par contraindre le marchand d'art à signer une reconnaissance de dettes d'un montant de 350 000 €. « Vers minuit et demi, ils l'ont laissé seul un moment, ajoute la même source. Le galeriste est parvenu à prendre la fuite avant de se réfugier dans un bar tout proche. »

Ses tortionnaires quittent ensuite rapidement les lieux en emportant des bijoux et 3 000 € en argent liquide. Sous le choc, Daniel est pris en charge par les secours avant de se voir délivrer dix jours d'interruption totale de travail (ITT). Quelque temps plus tard, la victime découvre des photos prises au cours de sa séquestration affichées sur la façade de sa galerie...

Saisis des investigations, les enquêteurs du 1 er district de police judiciaire ont rapidement remonté la piste des auteurs présumés des faits. Des photos et vidéos de cette séquestration ainsi que la reconnaissance de dettes ont été retrouvées en possession d'Emmanuel S.

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FLORENCE FORESTI parodie SEGOLENE ROYAL

Melilla, la ruée des clandestins vers l'Europe

Japon : la mafia des yakuza crée son site internet

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Après avoir créé son journal, le syndicat du crime japonais vient d'ouvrir son site internet, afin d'assurer un meilleur recrutement. Sur ce site au style démodé, le clan Yamaguchi affiche des messages contre la drogue, des images de cerisiers en fleurs, du Mont Fuji enneigé, le tout agrémenté avec son propre hymne. Le site internet, déjà visité par près de 165. 000 personnes, est accessible à l'adresse http://zenkokumayakubokumetsudoumei.com/index.html. Et on peut cliquer sur l'icône: «contactez-nous».

Dans cette quête de respectabilité, le site offre des vidéos-guimauve. Sur l'une, on voit un gros bonnet du syndicat dans un temple shintoïste sous une nuée de flashes, en humble kimono gris et sandales. Mitraillé par la presse telle une star de cinéma, l'homme vient faire ses dévotions nocturnes, jeter son obole et taper deux fois dans ses mains pour attirer la bienveillance des dieux. Sur une autre vidéo,d'honorables yakuza écrasent à coup de maillet de bois du riz gluant pendant un festival de Nouvel an bon enfant, sur fond de chanson sirupeuse contre l'injustice et pour la défense des faibles. Le site offre également des galeries de photos de "Yamaguchi boys" participant aux travaux de nettoyage après le séisme de Kobe (ouest) en 1995 et le tsunami de 2011 dans le nord-est du Japon.

Pendant la décontamination de Fukushima, le business continue 
Une démarche qui laisse sceptiques les spécialistes. «La devise des yakuza est "aider le faible, combattre le fort". Dans la pratique ça serait plutôt le contraire», ironise le journaliste Jake Adelstein, auteur du bestseller "Tokyo Vice". Le fond de commerce des yakuza serait plutôt le jeu, le trafic de drogue, la prostitution, en passant par l'usure, le racket, l'immobilier et même des intérêts dans la finance.

Cet ancien journaliste du quotidien Yomiuri Shimbun admet que, lors de grandes catastrophes naturelles, les yakuza ont pu être utiles, notamment «grâce à leurs liens avec le monde du transport, ou encore les masses de cash dont ils disposent». Mais, même dans des situations tragiques comme le tsunami d'il y a trois ans, la pègre continue son business. On a ainsi découvert dernièrement que des travailleurs chargés de la décontamination autour de la centrale nucléaire dévastée de Fukushima avaient été recrutés en sous-mains par des mafieux à des salaires de misère.

A la différence de leurs cousins italiens (la mafia) ou chinois (les triades), les clans yakuza sont légaux, avec des bureaux dans les principales villes japonaises ! Même si la police effectue des descentes de temps en temps, leur existence est autorisée, bien qu'une partie de leurs activités soit interdite. D'après les sociologues, leur présence réduit la petite délinquance, qu'ils contrôlent. Mais, depuis que la police combat un peu plus énergiquement le crime organisé, les yakuza peinent à recruter : en 2012, selon la police, leur nombre a chuté de 28% par rapport à il y a dix ans. Même s'il en reste environ 63.000, dont plus de 25.000 rien que pour le clan Yamaguchi, ils cherchent à se débarrasser de l'image de «forces anti-sociales» que leur colle la police japonaise.

Source

SONNE HAGAL - The Three Ravens

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