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Manuel Valls aka "El Blancos", premier ministre
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Poursuite des réformes
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Belle et rebelle #IRA 1975
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Renforcement des BAC et violences policières
En avril 1996, le ministre de l’Intérieur, Jean-Louis Debré, déclare que « les excellents résultats obtenus par la brigade anticriminalité de nuit, mise en place à Paris il y a plus de deux ans, plaident pour que ce dispositif soit étendu aux périodes diurnes ». Des BAC de jour sont ainsi créées à Paris, reconstituant un sous-secteur diurne du marché de la police de choc.
D’une trentaine de BSN en 1973, la Direction centrale de la sécurité publique – qui ne recense pas les unités de la préfecture de police – dénombrait, en 1995, 292 BAC locales et 4 BAC départementales (3440 agents en tout). Fin 2003, la BAC possédait 322 unités en activité en métropole et dans les DOM-TOM. De 1995 à 2003, le nombre total d’agents en BAC a augmenté de 23,3%. Ce processus suit son cours jusqu’en 2004.
En août 2004, une instruction officialise deux nouveaux types d’unité, les BAC de district et les BAC départementales. Elle délimite aussi de nouveaux domaines d’intervention pour les BAC : à la « petite délinquance » et aux « violences urbaines » s’ajoutent le « terrorisme » et le « renseignement ». Chacune de ces nouvelles attributions constitue un sous-secteur de développement de la forme BAC sur le marché global de la sécurisation et de la coercition. Les nouvelles générations de BAC seront des commandos polyvalents, proactifs, compétents pour l’antibande, l’anticriminalité, l’antiterrorisme et l’antiémeute, très médiatiques et consommant beaucoup de matériels. La marque BAC devient l’une des vitrines de l’excellence française dans le domaine de la police. « A la BAC de nuit, nous recevons beaucoup ; non pas que ce soit le dernier salon où l’on cause mais parce que ce service est souvent montré, tellement sa spécificité est grande. Que ce soit des journalistes, des directeurs, le procureur de la République de Paris, des polytechniciens, des sous-directeurs de prison, des policiers étrangers ou bien des commissaires stagiaires » raconte le commissaire Felkay.
Ces nouvelles dispositions vont ainsi permettre d’employer les BAC contre des mouvements sociaux et politiques en dehors des enclaves endocoloniales. Les BAC exportent dès lors une partie de leurs techniques de choc – celles qui tuent le moins – dans la police des strates supérieures des classes populaires et contre tout ce qui menace ou perturbe l’ordre social, économique et politique.
L’année 2009 est assez représentative de ces différents types de traductions et de transferts de la mécanique du commando policier. Le 7 mars, la BAC est mobilisée pour disperser une fête facebook dans le quartier du vieux Tours. Elle charge et gaze les habitants, déclenche plusieurs heures d’affrontements et le déploiement d’une quinzaine de policiers antiémeutes, finalement forcés de reculer sous les projectiles et les insultes.
A Toulouse, le 19 mars, durant de grandes manifestations des secteurs publics, privés et étudiants contre les politiques d’austérité, la BAC et des CRS sont envoyés contre une action collective d’autoréduction dans un supermarché. La police gaze les manifestants. Les baqueux, en civil et au visage dissimulé (écharpes, cagoules...), tirent une salve de balle non perforantes en direction de la foule. Johan Celsis, un étudiant participant à l’action est touché au visage et perd l’usage d’un œil. Les polices développées pour la guerre sociale dans les cités de la ville rose étaient disponibles, on les a envoyées soumettre la radicalisation des mouvements sociaux et elles ont déversé, de manière exceptionnelle, leurs formes de brutalité habituellement réservées aux damnés intérieurs.
Début avril, des BAC de toute la France sont déployées contre les manifestants anti-Otan à Strasbourg, où elles appliquent une combinaison de leurs compétences antibande, antiémeute et antiterroriste en mélangeant méthodes de provocation, de harcèlement et de « sécurisation par le vide » (interpellations très rapides confinant à l’enlèvement et à la disparition, qui résonnent avec les techniques contre-insurrectionnelles). La voiture banalisée d’une unité BAC procédant à des contrôles d’identité aux abords du campement anti-Otan est caillassée et mise en fuite par une centaine de militants dès le premier jour.
Le 30 avril 2009, un homme en moto refuse d’obtempérer à un contrôle routier de la BAC. Il s’enfuit et est pris en chasse par l’unité. Il chute et meurt dans la course-poursuite. Les baqueux peuvent ainsi contrôler son identité et découvrir qu’ils ont tué un collègue en civil.
Le 9 juin, une unité de la BAC décide d’arrêter Ali Ziri et son ami Arezki Kerfali. Les deux retraités algériens de 69 ans et 60 ans résistent. Les baqueux leur appliquent la technique du pliage qui consiste à plaquer le torse de la proie sur ses genoux tout en exerçant une pression. Ali Ziri est débarqué et traîné au commissariat où il est laissé étalé, les mains menottées dans le dos, la tête dans ses vomissements. Il tombe dans le coma dans la soirée et meurt le lendemain matin à l’hôpital. Interdite depuis que la police de l’air et des frontières (PAF) avait tué un Ethiopien en 2003, cette technique a perduré dans le répertoire des BAC et continue de s’appliquer principalement pour la domination endocoloniale, c’est-à-dire sur le corps sacrifiable des damnés.
L’expansion de la forme BAC détermine une circulation de la férocité à travers les frontières du socio-apartheid. Les techniques commando sont appliquées pour sécuriser une fête en centre-ville, la circulation routière, un mariage dans une cité, des chibanis, des manifestants, des passants récalcitrants ou un rassemblement international anti-impérialiste. Un policier de la BAC raconte la mise en œuvre d’une opération de « type guérilla » pour une bagarre dans un mariage à la fin des années 2000.
Il y a un mois et demi, les CRS terminant à 2h, on a été appelé à 2h15 pour une rixe opposant plus de 110 personnes de type africain suite à un mariage. C’était très très violent ! Les collègues étaient quatre. Je leur ai dit de partir et de s’équiper en attendant que l’on arrive. On est arrivé à 10 de Trincamp ; on était donc 14. Là, on a mis pied à terre. On a mis toutes les protections individuelles. La nuit, on a à peu près les mêmes que le SDI [Service départemental d’intervention]. On a le casque, les jambières, les coudières... On est descendu, les véhicules se sont avancés ; on a fait une petite progression flashs [flash-balls] et cougars à la main. On a fait une pénétration, c’est-à-dire que l’on avance à côté de nos véhicules, c’est-à-dire que l’on avance à côté de nos véhicules, on fait une progression de type guérilla, on fait une progression militaire.
Mathieu Rigouste, La domination policière
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Later That Year - Straylight Run
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Chaque jour, des milliers de plantes innocentes sont tuées par les végétariens. Mettez fin à cette violence, mangez du Bacon !
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Leçon de capitalisme...
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Belle et rebelle
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Le Crabe Tambour extrait - Pierre Schoendoerffer 1977
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Musculation de rue à Kiev
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LA RÉPUBLIQUE DE RAVE DE KAZANTIP
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Antifa girls love bukkake
Bukkake est la racine d'un verbe japonais qui, utilisé seul, signifie éclabousser. Le verbe bukkakeru (éclabousser d'eau) peut être décomposé en deux verbes : butsu (ぶつ) et kakeru (掛ける). Littéralement, butsu signifie frapper, mais dans le cas présent, il s'agit plutôt d'un préfixe augmentatif retrouvé dans buttamageru (ぶったまげる, complètement choqué) ou butchigiri (ぶっちぎり, victoire écrasante). Kakeru désigne l'action de verser. Bukkake est le plus souvent utilisé en japonais pour désigner un type de plats où l'accompagnement est versé sur des nouilles (bukkake-udon et bukkake-soba, par exemple).
Dans les films pornographiques, ce terme désigne la représentation d’une pratique sexuelle de groupe ; la pratique de l'éjaculation collective par un groupe d'hommes sur une personne. C'est la pratique sexuelle préférée des antifa entre eux, que ce soit sur une fille ou sur un garçon.
Dans les films pornographiques, ce terme désigne la représentation d’une pratique sexuelle de groupe ; la pratique de l'éjaculation collective par un groupe d'hommes sur une personne. C'est la pratique sexuelle préférée des antifa entre eux, que ce soit sur une fille ou sur un garçon.
ONG
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Des moutons au musée
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Belle et rebelle
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Egorgée par son mari: «Elle faisait mal le couscous»
Le procès d'un Tunisien au Tribunal pénal a débuté mardi matin. Il a tué sa femme en 2010 mais se présente comme un laïc, tolérant et attaché aux droits de l'Homme.
«Pourquoi aurait-elle besoin d'un amant, j'assumais mes devoirs conjugaux ?» L'ancien comptable de l'ambassade de Tunisie meurtrier de son épouse en avril 2010 à Fribourg, discourt sans fin depuis mardi devant la Cour. «Qu'elle repose en paix», exprime souvent cet homme de 47 ans qui se décrit comme «socialiste, laïc, sentimental, pas jaloux, et respectueux des droits de l'Homme. J'étais considéré comme un sage.»Cela ne l'a pas empêché pas de violer sa femme, puis d'uriner sur elle.
L'accusé, qui se croyait suivi par la police du président dictateur tunisien de l'époque, agissait aussi en tyran avec sa femme, interdite de sorties. Il déclare qu'elle était menacée d'enlèvement pour être revendue. Il suivait ainsi souvent celle dont il était désormais séparé, «un ange, une fleur très fragile», de 7 ans sa cadette.
Il l'attache, la poignarde, lui tire dessus puis lui tranche la gorge
Mais il la décrit aussi comme «malade psychiatrique». C'est pourtant lui qui l'a bâillonnée et attachée au pied du lit en plein après-midi, tandis que leurs deux fillettes étaient dans l'appartement du quartier du Schönberg, en ville de Fribourg. Puis, il l'a frappée de 15 coups de couteau dans le dos avant de lui tirer dans le visage avec un pistolet soft-air: une bille est demeurée dans la lèvre de la victime. Il l'a encore étranglée, avant de lui trancher la gorge. Le prévenu a dormi à côté du cadavre et a expliqué à ses adolescentes que leur mère était partie, puis qu'elle était hospitalisée. Sans travail , buveur, celui qui se faisait appeler David prétend tout expliquer: «Une rupture, ce n'était pas la fin du monde, mais je devais savoir pourquoi.»Il l 'accusait également de ne pas s'occuper de ses enfants et de ne pas savoir faire le couscous. Elle les nourrissait mal et rentrait tard, ajoute-t-il.
Le procès se poursuit au Tribunal du district de la Sarine.
Source
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Valls parle de Dieudonné aux francs-maçons
Au cours de la cérémonie de vœux qu’il a offerte aux obédiences maçonniques le 30 janvier en début de soirée au ministère de l’Intérieur, Manuel Valls exhorté les francs-maçons à se battre contre les extrémismes, l’extrême-droite, Dieudonné en particulier… et en stigmatisant les attaques indignes de la manifestation « Jour de colère » du 26 janvier dernier.
Dans un discours très républicain, où le terme laïcité a été utilisé plusieurs fois, Manuels Valls a souligné le rôle positif de la franc-maçonnerie dans la construction de la République française.
Pour écouter le ministre Valls, boire le Champagne et déguster les petits fours, 35 francs-maçons se sont déplacés au ministère de l’Intétieur sur les 50 prévus. Quatre obédiences étaient représentées : GODF, GLNF, GLFF et GLAMF. Chacune avait été invitée par l’Intérieur à composer sa délégation.
Pour le GODF, plusieurs conseillers de l’Ordre représentaient le Grand Maître Daniel Keller (retenu à Brignoles pour une conférence où il expliquait pourquoi un franc-maçon ne peut pas être membre du FN) et l’on comptait également trois anciens Grands Maîtres : Philippe Guglielmi, Alain Bauer et Jean-Michel Quillardet.
La Grande Maîtresse Catherine Jeannin-Naltet représentait la GLFF… et était accompagnée d’Yvette Roudy, ex ministre des Droits de la Femme. Alain Juillet, Grand Maître, représentait la GLAMF, et Jean-Pierre Servel, Grand Maître, la GLNF. Roger Dachez était également présent pour l’IMF.
Plusieurs dignitaires ont été surpris de l’absence de représentants de la GLDF et de la FFDH (alors qu’une excellente source me précise que ces deux obédiences étaient invitées). De mémoire de maçons, c’est la première fois qu’un ministre de l’Intérieur offre une cérémonie de vœux aux obédiences. Nicolas Sarkozy l’avait fait, mais en tant que Président de la République.
Dans un discours très républicain, où le terme laïcité a été utilisé plusieurs fois, Manuels Valls a souligné le rôle positif de la franc-maçonnerie dans la construction de la République française.
Pour écouter le ministre Valls, boire le Champagne et déguster les petits fours, 35 francs-maçons se sont déplacés au ministère de l’Intétieur sur les 50 prévus. Quatre obédiences étaient représentées : GODF, GLNF, GLFF et GLAMF. Chacune avait été invitée par l’Intérieur à composer sa délégation.
Pour le GODF, plusieurs conseillers de l’Ordre représentaient le Grand Maître Daniel Keller (retenu à Brignoles pour une conférence où il expliquait pourquoi un franc-maçon ne peut pas être membre du FN) et l’on comptait également trois anciens Grands Maîtres : Philippe Guglielmi, Alain Bauer et Jean-Michel Quillardet.
La Grande Maîtresse Catherine Jeannin-Naltet représentait la GLFF… et était accompagnée d’Yvette Roudy, ex ministre des Droits de la Femme. Alain Juillet, Grand Maître, représentait la GLAMF, et Jean-Pierre Servel, Grand Maître, la GLNF. Roger Dachez était également présent pour l’IMF.
Plusieurs dignitaires ont été surpris de l’absence de représentants de la GLDF et de la FFDH (alors qu’une excellente source me précise que ces deux obédiences étaient invitées). De mémoire de maçons, c’est la première fois qu’un ministre de l’Intérieur offre une cérémonie de vœux aux obédiences. Nicolas Sarkozy l’avait fait, mais en tant que Président de la République.
Source
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Au 31 du mois d' Aout - Corps des Troupes de Marine
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Grand Theft Glasgow
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Un Banquier Suisse veut Tout Balancer : "des Cahuzac à droite et d'autres Cahuzac à gauche"
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Réuni à Paris, le Congrès juif mondial fait « l’éloge du nouveau Premier ministre Manuel Valls »
« Bras diplomatique du peuple juif » comme il se surnomme, le Congrès juif mondial, fondé en 1936 et basé à New-York, s'est réuni à Paris le 31 mars et le 1er avril sans la moindre couverture médiatique hexagonale. Il fallait lire le Jerusalem Post ou le Buenos Aires Herald pour apprendre incidemment que cette influente organisation était présente ces jours-ci dans la capitale française. Au lendemain du second tour des élections municipales- jour des tractations secrètes pour l'avenir de Matignon, la presse française traditionnelle n'a visiblement pas jugé pertinent de couvrir l'évenement rapporté jusqu'en Israël et en Argentine.
Une regrettable lacune journalistique : la plupart des citoyens qui s'informent auraient ainsi pu apprendre que les dirigeants du CJM (parmi lesquels figurent les Français David de Rothschild et Roger Cukierman, président du Crif) ont fait savoir, dans un communiqué de presse, qu'ils avaient « fait l'éloge du nouveau Premier ministre Manuel Valls pour avoir agi avec détermination contre le comédien antisémite Dieudonné »et soutenu la « pleine légitimité des mesures qui restreignent la liberté de parole ».
François Hollande s'est vu également accorder une « grande appréciation », ce qui ne devrait pas déplaire à son ancien mentor politique Jacques Attali, présent à la réunion en tant qu'intervenant.
Ce double statisfecit délivré par le CJM -justement réuni, heureuse coïncidence, à Paris -au nouveau tandem au pouvoir dans l'Hexagone ne manquera pas de faire sourire -ou de mettre en colère- ceux qui connaissent la proximité, conjuguée et inédite, du président de la République et du nouveau Premier ministre avec les représentants.
Roger Cukierman (Crif), Ronald Lauder (Cjm) et Manuel Valls, le 06.02.2013
En septembre dernier, Panamza avait publié un dossier spécial sur Manuel Valls et la diversité de son réseau politico-communautaire: Crif bien sûr, mais aussi le Comité juif américain (dont l'homme de Matignon suit officiellement -depuis trois ans- un "programme éducatif" consacré à Israël), le Centre Simon Wisenthal sans oublier le dernier venu -ELNET (décrit ici en février).
S
ur ce point, notons que Rue 89 et Le Monde ont tous deux édulcoré, depuis 24 heures, l'intensité et la profondeur de cet engagement ultra-sioniste de Manuel Valls, suggérant, à la manière du journaliste Claude Askolovitch (ami personnel de l'intéressé), qu'il s'agirait là d'une représentation justifiée uniquement par son lien conjugal avec Anne Gravoin, juive originaire de Moldavie (ce double aspect biographique de la violoniste a été mis en avant par Manuel Valls lui-même, à deux reprises).
Soulignons également qu'aucun grand média n'a évoqué, depuis un mois, la rencontre (divulguée par Panamza) de l'ex-patron de l'Intérieur avec Avigdor Lieberman, ministre israélien issu de l'extrême droite. Une omerta régulière dès lors qu'il s'agit d'évoquer la face obscure d'Israël comme l'illustrèrent récemment France 2 et Mediapart qui n'ont absolument pas abordé la question avec Manuel Valls en dépit des deux longues heures d'interview accordées par le futur Premier ministre.
Quant à François Hollande, son indulgence systématique et zélée envers le régime de Tel Aviv s'est encore confirmée lors de sa dernière rencontre avec Benyamin Netanyahou envers lequel il était prêt à entonner un « chant d 'amour » comme le dévoila Panamza.
Directeur de la communication de François Hollande lors de la campagne présidentielle, Manuel Valls incarne probablement le relais futur de l'actuel chef de l'Etat aux yeux de la mouvance sioniste internationale. Comme l'avait -de nouveau- révélé Panamza, le futur président de la République avait alors bénéficié de l'aide financière et occulte d'un discret lobby américano-européen qui oeuvre au rapprochement de l'Union européenne avec Israël. Les dirigeants de l'antenne française de ce lobby (dénommé ELNET) ont d'ailleurs accompagné Manuel Valls lors de sa participation au dîner du Crif de Toulouse organisé le 27 février.
Un dernier point mériterait d'être creusé: la personnalité de Ronald Lauder, président du Congrès juif mondial depuis 2007 et farouche opposant à la reconnaissance de la Palestine par l'ONU. Contrairement à ce que pourrait laisser penser son titre, la réputation de l'homme -dont l'organisme dénonce la critique d'Israël issue de la "diaspora musulmane en Occident"- ne s'est pas forgée sur une quelconque oeuvre religieuse. Ancien haut-fonctionaire issu du Pentagone (en charge de l'OTAN) sous l'Administration Reagan et ex-candidat malheureux à la mairie de New York, ce milliardaire (héritier des cosmétiques Lauder) est l'incarnation par excellence de l'axe Washington-Tel Aviv depuis les années 80.
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