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Esprit rebelle
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Trilatérale
Organisation internationale privée, réunissant plusieurs centaines de décideurs mondiaux (hommes politiques, de médias, d’affaires, etc.). Elle fut fondée en 1973 par David Rockefeller, Henry Kissinger et Zbigniew Brzezinski. Son but officiel est la construction d’une coopération politique et économique entre les Etats-Unis, l’Europe et l’Asie pacifique. Ayant pour objectif l’édification d’une structure politique mondiale, elle est un bras actif du mondialisme, idéologie chère à Jacques Attali, dont la finalité est l’instauration d’un gouvernement mondial.
Si le lecteur veut en savoir plus, il peut toujours se renseigner auprès des quelques Français qui en sont des membres officiels, tels Jean-François Copé, Alexandra Adler, Nicolas Beytout, Jean-Louis Bourlanges, Jean-Louis Brugière ou Dominique Moisi. Ainsi, peut-être en apprendra-t-il davantage...
Adrien Abauzit, Né en 1984
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Omnia - Pagan Folk Lore
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Les seigneurs de guerre cannibales du Libéria
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I Will Not Fall - Wire Train
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Belle et rebelle
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Tony Jaa, l'incroyable combattant
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Bernanos et le sentiment de la patrie
« On a substitué au sentiment de la patrie la notion juridique de l’Etat. Aucun homme de bon sens ne saurait, naturellement, traiter l’Etat en camarade. On a volé aux Français sinon la Patrie, du moins l’image qu’ils en avaient dans le cœur. Se former une image de l’Etat n’est certes pas à la portée des pauvres diables. Autant leur demander de se faire une idée de l’Eglise sans le Christ et les Evangiles – sorte de spéculation réservée aux initiés maurrassiens. – On a volé la Patrie aux bonnes gens, et ce n’est pas là une expression poétique, car il serait très facile de la remplacer par quelque autre beaucoup plus terre à terre. Les bonnes gens ont de moins en moins l’occasion de prononcer le nom de leur pays avec un certain accent – celui qu’ils prenaient jadis pour répéter entre eux la phrase traditionnelle, l’exclamation familière à tous les pauvres types embêtés par les puissants de ce monde : « Ah ! si le roi savait ! » - « Si la France savait ! » est une espèce d’appel empathique à l’Histoire, totalement hors de la portée des pauvres types. « Si l’Etat savait ! » aurait plutôt un sens sinistre, car les pauvres types savent que l’Etat n’intervient jamais que pour réclamer la part du lion, ne s’agirait-il que d’une modeste croûte de pain.
On a volé leur patrie aux Français aux Français, on la leur a littéralement arrachée des mains, et si ce fait semble continuer à passer presque inaperçu des bourgeois, c’est qu’ils ont moins besoin que les bonnes gens d’une expérience concrète de la patrie, leur sensibilité est faite aux abstractions. Ils conviendront aisément, par exemple, qu’on a volé aux Français leurs provinces, mais ils ne se demanderont pas, ou ils se demanderont rarement, si l’on n’a pas privé ainsi les bonnes gens d’une fidélité intermédiaire indispensable. Qu’un cataclysme anéantisse demain, avec toute vie paroissiale, les curés, les petites sœurs et généralement tout ce qui permet à l’Eglise d’exercer son ministère de charité, ils trouveraient sans doute extraordinaire que le peuple perdît jusqu’au souvenir du nom chrétien, ils l’inviteraient gravement à méditer sur les fondements de l’Ordre catholique romain, à lire et à relire le célèbre préface de M. Charles Maurras.
On a volé leur patrie aux Français, je veux dire qu’on la leur a rendue méconnaissable. Elle n’évoque même plus pour eux l’idée d’honneur ou de justice – car l’Etat ne connaît ni honneur ni justice – elle a la face austère du Devoir, du Devoir absolu, de la Summa Lex, impitoyable aux pécheurs. La France ne ressemble plus aux Français, elle n’a ni leurs vertus ni leurs vices, ni aucun de ces défauts qui leur sont plus chers que leurs vices ou leurs vertus, elle ne parle même pas leur langage, elle ne dit rien, elle est l’idole muette d’un peuple bavard. L’Etat s’est substitué à la Patrie comme l’administration cléricale se serait substituée, depuis longtemps – si Dieu n’y mettait ordre – à la moribonde Chrétienté. Et les courtiers de ce troc, les légistes crasseux de la Renaissance, barbouillés de grec et de latin, ont mené l’opération avec toute la clairvoyance de la haine. Car ils haïssaient l’ancienne France, ils dédaignaient son idiome, ils méprisaient ses mœurs, ses arts, sa foi, ils l’eussent donnée tout entière pour la moindre des républiques transalpines – la France moderne a été faite par des gens qui tenaient l’ancienne en mépris».
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Vive Henry IV
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Nature et rupture
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La valeur suprême est la vie
Le but de la vie est la réalisation dans chaque individu de l’archétype humain. Pour faire parfaitement son métier d’homme, il faut développer toutes ses potentialités organiques, intellectuelles et spirituelles.
Alexis Carrel
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Euthanasie
Injonction du capital (le traitement des personnes âgées représente la moitié des dépensesde santé).
Enième conséquence de l’illégitimité de la souffrance.
Combat sociétal que mènera la gauche officielle afin de mieux cacher son incapacité à faire des réformes sociales.
Adrien Abauzit, Né en 1984
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Voyage au cœur du LSD Arte reportage
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Non à l'Union européenne !
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Foo Fighters - Let It Die
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Belles et rebelles
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La crise écologique et la menace de l’effondrement
L’historien des sciences et philosophe Pierre Thuillier a publié en 1995 La grande implosion. Ce livre prémonitoire se présentait dans l’édition originale comme un dossier intitulé « Rapport sur l’effondrement de l’Occident 1999-2002 ». Il imaginait qu’en 2070 une commission d’enquête s’efforçait de comprendre comment la catastrophe avait pu se produire après tant d’avertissements. Sans remonter plus avant, en 1922 déjà, le grand Svate Arrhenius, l’inventeur du réchauffement climatique, dans une conférence faite à l’université de Paris, déclarait : « Le développement a été, pour ainsi dire, explosif et nous courons à une catastrophe. »
En empruntant résolument vers 1850 la voie thermo-industrielle, l’Occident a pu donner consistance à son désir d’épouser la raison géométrique, c’est-à-dire la croissance infinie, rêve qui se manifeste depuis 1750 au moins, avec la naissance du capitalisme et de l’économie politique. Toutefois, ce n’est que vers 1950, avec invention du marketing et la naissance subséquente de la société de consommation, qu’il peut libérer tout son potentiel créateur et destructeur. Ce faisant, il construit les structures de la catastrophe : 2050 pourrait marquer la fin de la société de croissance, voire de l’humanité. Le rêve sera devenu un cauchemar. L’astronome royal Sir Martin Rees, autour du livre Our Final Century, donne à l’humanité une chance sur deux de survivre au XXIe siècle. André Gorz nous avait pourtant prévenus en 1977 : « Nous savons que notre mode de vie actuel est sans avenir, que notre monde va finir, que les mers et les fleuves seront stériles, les terres sans fertilité naturelle, l’air étouffant dans les villes et la vie un privilège auquel seuls auront droit les spécimens sélectionnés d’une nouvelle race humaine. »
Epousant la raison géométrique qui préside à la croissance économique, l’homme occidental a renoncé toute mesure. Avec une hausse du PNB par tête de 3,5% par an (progression moyenne pour la France entre 1949 et 1959), on aboutit à une multiplication de 31 en un siècle, de 972 en deux siècles et de 30 000 en trois siècles ! Avec un taux de croissance de 10% – tel celui, actuel, de la Chine –, on obtient une multiplication par 13 780 en un siècle ! Et sur 2 000 ans avec seulement un taux de 2%, on arrive à 160 millions de milliards ! Croit-on vraiment qu’une croissance infinie est possible sur une planète finie ? l’hubris, la démesure du maître et possesseur de la nature, a pris la place de l’antique sagesse d’une insertion dans un environnement exploité de façon raisonnée. Le délire quantitatif a soudain fait basculer la situation suivant le théorème de l’algue verte.
Un jour, une petite algue est introduite dans un très grand étang. Bien que sa croissance annuelle soit rapide selon une progression géométrique de raison deux, nul ne s’en préoccupe jusqu’à ce qu’elle ait colonisé la moitié de la surface, faisant peser, dès lors, une menace d’entrophisation, c’est-à-dire d’asphyxie de la vie subaquatique. Car si elle a mis plusieurs décennies pour en arriver là, il suffira d’une seule année pour provoquer la mort irrémédiable de l’écosystème lacustre. « C’est pourtant l’idée de continuer sur le même chemin qui domine, remarque le journaliste Jean-Paul Besset. Pour assurer le bien-être de l’ensemble de l’humanité, la Banque mondiale a calculé qu’il faudrait que la production de richesses soit quatre fois plus importante en 2050. Avec une croissance moyenne de 3% par an, c’est possible, dit-elle. Il suffirait ensuite de rassembler les conditions politiques – bonne gouvernance, aide au développement, coopération technique, échanges commerciaux – pour que tout aille pour le mieux dans le meilleur des mondes. Affirmation rigoureusement exacte du point de vue du raisonnement économique. Perspective totalement irréaliste du point de vue des capacités du vivant. Escroquerie intellectuelle, donc. Comment imaginer que le PIB mondial, qui était à 6 000 milliards de dollars en 1950, qui est passé à 43 000 milliards de dollars en 2000, puisse s’élever en 2050 à 172 000 milliards de dollars sans bouleverser plus encore les équilibres naturels, telle une mécanique vertueuse ? » Nous sommes arrivés au moment où l’algue verte a colonisé la moitié de notre étang. Certes, notre croissance n’est pas, Dieu merci, de 100 % par an, mais même avec des taux très faibles, si nous n’agissons pas très vite et très fort, c’est la mort par asphyxie qui nous attend bientôt. Le recul forcé du PIB mondial que l’on observe depuis 2008 est loin d’être suffisant, car il touche assez peu les activités les plus destructrices de l’environnement et la tentation est encore plus forte de chercher une relance de l’économie par une prédation accrue (gaz de schiste, bétonisation à tout va, déforestation, etc.).
L’histoire de la catastrophe annoncée a été écrite dans les deuxième et troisième rapports au club de Rome, moins médiatisés que le premier, mais tout aussi importants, sinon plus. On peut, bien sûr, être sceptique sur les travaux de futurologie, mais ceux-là ont le mérite d’être infiniment plus sérieux et solides que les habituelles projections sur lesquelles s’appuient nos gouvernants et les instances internationales. La modélisation repose, en effet, sur la théorie des systèmes de Jay Forrester (en l’occurrence, le modèle World 3). Elle présente deux aspects qui renforcent sa crédibilité : l’interdépendance des variables et les boucles de rétroaction. Or, selon le dernier rapport, tous les scénarios – sauf celui reposant sur une foi proprement « cornucopienne » (de la corne d’abondance) – qui ne remettent pas en cause les fondamentaux de la société de croissance aboutissent à l’effondrement. Le premier situe celui-ci vers 2030 du fait de la crise des ressources non renouvelables ; vers 2040 pour le deuxième, du fait de la crise de la pollution ; vers 2070 pour le troisième, du fait de la crise de l’alimentation. Les autres scénarios sont des variantes de ces trois-là.
Un seul est à la fois crédible et soutenable, celui de la sobriété qui correspond aux recommandations de la voie de la décroissance. Pourtant, la schizophrénie ou la dissonance cognitive des responsables reste totale. Ainsi, la publication du rapport Stern, tout aussi alarmiste, a inspiré de beaux discours à Tony Blair, Premier ministre britannique travailliste de l’époque : « Il ne fait pas de doute que les conséquences pour notre planète seront littéralement désastreuses pour un avenir proche. Il n’y a rien de plus grave, rien de plus urgent, rien qui n’exige plus des décisions. » Mais en conclusion de son homélie, M. Blair s’en est retourné comme si de rien n’était à ses guerres et à sa politique néolibérale prédatrice. Et nous voilà aujourd’hui entre le krach et le crash...
La catastrophe est déjà là. Nous vivons ce que les spécialistes appellent la sixième extinction des espèces, la cinquième s’étant produite au Crétacé, il y a soixante-cinq millions d’années, avec la fin des dinosaures et autres grosses bêtes, probablement à la suite de la collision d’un astéroïde avec la Terre. Toutefois, la nôtre présente trois différences non négligeables par rapport à la précédente. Premièrement, les espèces végétales et animales disparaissent à la vitesse de cinquante à deux cents par jour, soit un rythme de 1 000 à 30 000 fois supérieur à celui des hécatombes des temps géologiques passés. Deuxièmement, l’homme est directement responsable de cette déplétion actuelle du vivant. Troisièmement, il pourrait bien en être la victime... Si l’on en croit certains, la fin de l’humanité devrait même arriver plus rapidement que prévu, vers 2060, par stérilité généralisée du sperme masculin sous l’effet des pesticides et autres polluants organiques persistants cancérigènes, mutagènes ou reprotoxiques. La sixième extinction des espèces serait due à la surexploitation des milieux naturels, la pollution, le fractionnement des écosystèmes, l’invasion de nouvelles espèces prédatrices et le changement climatique.
Serge Latouche, L’âge des limites
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SONNE HAGAL - Who has seen the Wind?
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Allure et rupture
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L'UE est une très mauvaise affaire
Ayons un nouveau traité européen et soumettons-le à un référendum dans beaucoup de pays, en particulier en Grande-Bretagne : le peuple britannique arrivera à la conclusion que c’est une très mauvaise affaire pour la Grande-Bretagne, il votera pour que nous quittions l’U.E.
Nigel Farage
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