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Belle et rebelle
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Paris : frappé de six coups de couteau en secourant une passante
Son civisme aurait pu lui coûter cher. Ce jeudi après-midi, un chauffeur de poids-lourds a été frappé de six coups de couteau, alors qu’il tentait de venir en aide à une jeune femme molestée par deux individus. La scène s’est passée vers 16 heures porte d’Ivry à Paris.
Apercevant la victime en mauvaise posture, le chauffeur décide de s’arrêter pour tenter de faire fuir les deux agresseurs. C’est alors que l’un des deux sort une arme blanche et s’en prend au bon samaritain. Les deux hommes prennent immédiatement la fuite.
De son côté, le chauffeur réussit à remonter dans son camion, pour tenter de se rendre à l’hôpital le plus proche. Désorienté et blessé, il se résout finalement à demander de l'aide à un passant. Le passant qui se trouve être un gendarme qui n'est pas en service. Ce dernier prévient immédiatement les secours et les services de police.
Le chauffeur courageux a été hospitalisé. Ses jours ne sont pas en danger.
Apercevant la victime en mauvaise posture, le chauffeur décide de s’arrêter pour tenter de faire fuir les deux agresseurs. C’est alors que l’un des deux sort une arme blanche et s’en prend au bon samaritain. Les deux hommes prennent immédiatement la fuite.
De son côté, le chauffeur réussit à remonter dans son camion, pour tenter de se rendre à l’hôpital le plus proche. Désorienté et blessé, il se résout finalement à demander de l'aide à un passant. Le passant qui se trouve être un gendarme qui n'est pas en service. Ce dernier prévient immédiatement les secours et les services de police.
Le chauffeur courageux a été hospitalisé. Ses jours ne sont pas en danger.
Source
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Des débordements vous dites ?
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Rencontre avec un cosaque russe dans l’Est de l’Ukraine
Pour prouver la présence d’agents des forces spéciales russes en Ukraine, Jen Psaki, représentante officielle du Département d’État américain, a présenté au Conseil de sécurité de l’ONU deux photos, prises respectivement en Géorgie en 2008 et en Ukraine récemment, où posaient des hommes en tenue de camouflage. À propos d’un des hommes, Jen Psaki a affirmé qu’il s’agissait du même sur les deux clichés : effectivement, les deux étaient robustes et portaient une longue barbe.
Pourtant, la barbe n’a pas suffi : rapidement, les hommes ont été identifiés. Celui de la photo prise en Géorgie est trop connu pour être confondu avec quiconque : il s’agit de Khamzat Gaïrbekov, surnommé Boroda [Barbe], chef du bataillon Vostok. L’homme figurant sur le cliché pris à l’Est de l’Ukraine a également été retrouvé par la revue Time. C’est Alexandre Mojaev, un cosaque venu de Russie « aider ses frères orthodoxes » à faire la guerre. Le journal local de Kramatorskaïa Pravda l’a interviewé.
- Pourquoi vous êtes-vous retrouvé en Ukraine ?
- J’étais chez moi, et en voyant à la télévision ce qu’il se passait sur Maïdan je me suis dit : « Mais qu’est-ce qui se manigance là-bas en Ukraine ? » Je regarde, et là, même Angela Merkel y va de son commentaire. Les pays étrangers ont une idée derrière la tête. Et tout ça rappelle fortement le Kosovo. Mais c’est qu’il faut y aller, je me dis, et aider ! Et là, mes frères cosaques arrivent chez moi et disent : « Sanya, nous venons te voir avec une mauvaise nouvelle. Nous partons à la guerre. » Et moi, je dis : « S’il le faut, allons-y. » J’avais déjà compris alors, contre qui on se battait. Contre l’Amérique. Parce que ce sont eux qui fourrent leur nez ici avec l’Union européenne.
La première partie de nos cosaques est partie à Sébastopol. Nous pensions faire partie de la deuxième vague. Mais non, on ne nous a pas pris non plus. Nous nous sommes alors réunis, nous nous sommes téléphonés avec les cosaques du Terek et nous sommes partis tout seuls.
- On raconte que vous êtes parti combattre pour fuir une enquête pénale et éviter la prison. Vous êtes accusé de tentative d’assassinat à l’arme blanche. Qu’est-ce que c’est que cette histoire ?
- On m’accuse d’un crime que je n’ai pas commis. Je suis simplement tombé sur un commissaire vendu, engraissé par la diaspora coréenne. Cette diaspora s’occupe de culture de fruits et de légumes sur notre terre cosaque du Kouban, elle entretient des esclaves sur ses plantations, qu’elle fait venir de Corée et qu’elle paie des kopecks. Et j’ai eu une altercation avec un de ces Coréens. Avec les amis, nous étions invités chez un vétéran de l’Afghanistan, un colonel. Le soir, nous allons nous coucher. Moi, je ne dormais pas, et Vitalik non plus. On conversait. Et là, le Coréen arrive chez le voisin et se met à klaxonner. Et notre voiture était garée dehors. Peut-être que c’est pour nous, on se dit. On sort vérifier. Il s’avère que ce n’est pas pour nous. Je dis au Coréen : « Écoute, arrête de klaxonner! » Et lui, il se retourne, et il continue de klaxonner. Je m’approche de la fenêtre, et je dis : « Écoute, les gens dorment. A notre époque, il y a des téléphones portables. Téléphone ! » Et lui, en réponse, il me fait : «Tu es qui, comme ça, pour me dire quoi faire ? « Je suis un cosaque, je dis, maître de la terre du Kouban. Et je t’indiquerai partout quoi faire, si tu te comportes avec insolence. Et lui, comme ça : « Tu te fous de moi ?! » Et il sort. Il pensait certainement que j’aurai peur de lui. Il nous a regardés avec Vitalik : « J’ai compris ». Il s’est assis dans sa voiture et il est parti. Nous, sans arrière-pensées, nous retournons à la cabane. Mais au bout d’un moment, le Coréen revient. Avec Vitalik, nous ressortons, et ils sont six assis dans leur voiture. La bagarre a commencé.
Ils attaquent directement Vitalik avec un couteau. J’étais en claquettes. De derrière moi, il y en a un qui court et qui me tombe dessus. Et là, un autre coup sur la tête, de la droite. Je pense « Sans déconner ! Il faut que je me couvre moi-même comme je peux, et encore que j’aide Vitalik. » Là-dessus, mon pouce se déboîte. Je le prends, je le remets, et je continue de me battre. Eux, voyant ça, ils hallucinent.
« Stop tout le monde !, Arrêtez ! », ils crient. Ils s’arrêtent. Ils disent : « Venez sur notre base ! Si tu ne viens pas, nous continuerons de frapper Vitalik ! » Nous arrivons chez lui, sur leur base. Le Coréen dit : « Tu as deux options pour partir d’ici : soit tu me demandes pardon, soit j’appelle la police et nous portons tous plainte en disant que tu nous as menacés avec un couteau. » Et il pose des affaires en face de moi. Ils avaient pris avec eux la voiture de notre ami Alekseï, et dedans, il y avait un sac avec son téléphone et son couteau. Et comme par hasard, je n’ai plus de batterie sur mon téléphone : je ne peux appeler personne, ni demander aucune aide. Il sort. Et moi, je me souviens que dans mon sac, j’ai aussi un petit couteau pliant. Je donne le couteau d’Alekseï à Vitalik, je prends le mien pour moi.
« Et maintenant, je dis, allons les voir. » Et nous avançons : « On vous prend un par un ! » Ils se tiennent là, ils ont la trouille d’approcher. Et qu’est-ce que tu penses ? J’entends le bruit d’une voiture qui arrive, la porte qui claque et une voix : « Salut, commandant ! » Avec Vitalik, nous avons le temps de ranger les couteaux et de nous asseoir à table. Le commandant sort et commence de nous insulter en hurlant. Je lui fais : « Citoyen policier. Ayez la bonté de vous présenter. Combien ils vous paient, pour que vous vous cassiez le cul pour eux ? » Et lui : «Trente mille par mois ». Je dis : « Nous ne parviendrons pas à nous entendre, appelez des renforts. » Et le temps que le détachement arrive, avec ce Coréen, ils ont commencé de dresser une plainte contre nous. Personne n’a écouté nos explications. Résultat, ils nous ont emmenés au commissariat, ont établi un procès-verbal en disant que c’était moi qui marchais ivre dans la rue et qu’ils m’ont emmené. J’ai soufflé : 0,16 milligramme d’alcool dans le sang. Parce qu’en arrivant chez notre ami, nous avions bu des bières. Et toute cette affaire continue jusqu’aujourd’hui. J’ai écrit et au Comité d’enquête, et au Parquet. Zéro émotion. Si tout cela s’était passé dans notre district de Beloretchensk, les Coréens, pour ça, auraient simplement été condamnés au fouet. Mais chez eux là-bas, dans le district de Vysselki, rien n’est clair.
- D’où vous vient votre surnom « Babaï » ?
- Ce n’est pas un surnom. C’est un indicatif. Babaï, c’est un personnage traditionnel. Il est en même temps effrayant de l’extérieur, et bon à l’intérieur. Et moi aussi, je suis comme ça.
- Depuis combien d’années êtes-vous dans la cosaquerie ?
- On naît cosaque. Mais dans les troupes, j’y suis depuis 1993.
- À Kramatorsk, un hélicoptère MI-8 a explosé. Certains médias vous accusent d’en être le responsable…
- Ce n’est pas moi.
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Bagarre !
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Belle et rebelle
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Colloque 20 juin : Pensée dominante vs Liberté de l'information
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Difficile d’être à la fois pour et contre le mariage gay… Sauf à l’UMP !
La politique, c’est du commerce ! Pour un grand parti comme l’UMP, l’objectif est simple : avoir le maximum de voix, le maximum d’élus, le maximum de pouvoir, le maximum de subventions… La stratégie est complexe. Elle doit tenir compte de la diversité des régions, des sensibilités, ne pas décevoir la masse des clients fidèles, mais séduire aussi ceux qui, à la marge, vont compter davantage puisqu’ils vont faire la différence, les acheteurs plus rares, mais qui font le bénéfice. Il faut aussi combler les écarts entre les dirigeants et le public. Les goûts et les opinions des mondanités parisiennes ne sont pas forcément partagés par l’Auvergne profonde, et encore moins par la Guadeloupe. Le Président peut préférer le champagne à la bière, il doit être capable de boire cette dernière avec plaisir s’il vient dans le Nord. On peut toujours essayer de changer les mentalités, mais c’est long. Alors, il faut faire le grand écart. En politique, ça s’appelle la contradiction, ou plus bêtement le mensonge : dire à Pierre des gros bataillons ce qu’il veut entendre et à Stéphane, des cercles plus raffinés, mais qui comptent davantage, ce qui lui fait plaisir.
La virtuosité de ce jeu à l’UMP est dans l’ADN de la marque. Sarkozy, Copé, Fillon, pour ne citer que ceux qui ont du poids : même combat. Les nouveaux arrivés, les Ravis de la crèche, façon Guaino, ne sont pas encore au point. Il leur reste des idées. Mauvais, en politique. Il est allé de bon cœur à la Manif pour tous. Il n’était pas seul. Copé aussi, toujours prêt à récupérer les pains au chocolat tout chauds. Marine n’y était pas. Certains y ont vu des influences lobbyesques. Mais chez Copé, c’est plus vicieux. Il faut ménager la chèvre catholique qui vote à Versailles et le chou « gay-friendly » qui règne à la télé. On dit à la chèvre qu’on est contre le mariage unisexe et elle y croit, et au chou qu’on est pour. Petit problème, Stéphane Bern, qui est drôle et en a dans le chou, rend le trucage transparent : « Pourquoi vous dites le contraire dans vos discours, de ce que vous nous dites entre la poire et le fromage ? » Alors, les chèvres qui étaient bien nombreuses dans les rues de Paris et ont fait des kilomètres en pure perte, se sentent bernées.
Lorsque l’un des fondateurs de GayLib– la vitrine « gay » de l’UMP, habilement cédée à la sous-marque UDI, plus libertaire –, revient en douce à la maison mère comme secrétaire chargé de la lutte contre l’homophobie, les chèvres découvrent, effarées, le pot aux roses. En fait, il n’y a rien de neuf. D’un côté, on dit qu’on est contre le mariage pour ne pas perdre les conservateurs, et de l’autre on lutte contre l’homophobie pour plaire au lobby si puissant dans les médias.
Sarkozy en campagne avait dit « Pas de mariage » et avait flingué publiquement un député pour « homophobie », sans le moindre fondement légal pour le faire. L’UMP ne remettra évidemment pas en cause le mariage unisexe, comme elle a entériné le PACS en améliorant ses conséquences fiscales. C’est elle, d’ailleurs, qui a ancré cette notion contestable d’« homophobie » dans la loi. Elle préférera toujours ceux qui ont été pris la main dans le pot de confiture à ceux qui ont des idées qui agacent même s’ils n’ont jamais été condamnés. La qualité du produit compte moins que son accueil sur le marché. La politique, c’est du commerce !
La virtuosité de ce jeu à l’UMP est dans l’ADN de la marque. Sarkozy, Copé, Fillon, pour ne citer que ceux qui ont du poids : même combat. Les nouveaux arrivés, les Ravis de la crèche, façon Guaino, ne sont pas encore au point. Il leur reste des idées. Mauvais, en politique. Il est allé de bon cœur à la Manif pour tous. Il n’était pas seul. Copé aussi, toujours prêt à récupérer les pains au chocolat tout chauds. Marine n’y était pas. Certains y ont vu des influences lobbyesques. Mais chez Copé, c’est plus vicieux. Il faut ménager la chèvre catholique qui vote à Versailles et le chou « gay-friendly » qui règne à la télé. On dit à la chèvre qu’on est contre le mariage unisexe et elle y croit, et au chou qu’on est pour. Petit problème, Stéphane Bern, qui est drôle et en a dans le chou, rend le trucage transparent : « Pourquoi vous dites le contraire dans vos discours, de ce que vous nous dites entre la poire et le fromage ? » Alors, les chèvres qui étaient bien nombreuses dans les rues de Paris et ont fait des kilomètres en pure perte, se sentent bernées.
Lorsque l’un des fondateurs de GayLib– la vitrine « gay » de l’UMP, habilement cédée à la sous-marque UDI, plus libertaire –, revient en douce à la maison mère comme secrétaire chargé de la lutte contre l’homophobie, les chèvres découvrent, effarées, le pot aux roses. En fait, il n’y a rien de neuf. D’un côté, on dit qu’on est contre le mariage pour ne pas perdre les conservateurs, et de l’autre on lutte contre l’homophobie pour plaire au lobby si puissant dans les médias.
Sarkozy en campagne avait dit « Pas de mariage » et avait flingué publiquement un député pour « homophobie », sans le moindre fondement légal pour le faire. L’UMP ne remettra évidemment pas en cause le mariage unisexe, comme elle a entériné le PACS en améliorant ses conséquences fiscales. C’est elle, d’ailleurs, qui a ancré cette notion contestable d’« homophobie » dans la loi. Elle préférera toujours ceux qui ont été pris la main dans le pot de confiture à ceux qui ont des idées qui agacent même s’ils n’ont jamais été condamnés. La qualité du produit compte moins que son accueil sur le marché. La politique, c’est du commerce !
Christian Vanneste pour Boulevard Voltaire
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A nos camarades patriotes
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Esprit libre #Bali
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Project 86 - Rebuttal
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Djihad : la réponse française
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Grande procession en l'honneur de Saint Louis le 17 mai
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Belle et rebelle
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